Bonjour ZAGHBENIFE,
Pour le moins qu'on puisse dire c'est que le constat dans le monde et dans nos sociétés n'est pas à la réjouissance. Le cumul de la pandémie avec celui du conflit en Ukraine, et maintenant la variole du singe donne l'impression d'un engrenage sans fin dans la liste des catastrophes.
Lorsque nous traversons une crise, qu'elle soit sanitaire ou d'une autre nature, le premier réflexe demeure souvent l’inquiétude, la panique ou encore la tristesse. Les confinements que nous avons vécus représentent un exemple de nouvelles qui perturbent notre vie. Il faut alors prendre du recul pour éviter l’effet de panique qui peut s’emparer de nous. Il s’agit d’abord d’accepter les émotions qui nous submergent et de comprendre qu’il s’agit avant tout d’un mécanisme de défense psychique, et qu’il est tout à fait normal de ressentir ce que nous endurons.
Pourtant, c’est le pire moment pour y penser car nous sommes émotionnellement encore trop touchés par ce qui vient d’arriver. Si nous avons des pensées négatives qui arrivent, il va vous falloir les court-circuiter et arrêter d’y penser. Plus facile à dire qu’à faire mais pour cela, il suffit d’accepter la situation comme un état de fait. Nous sommes là et c’est important !
Belle journée à toi, Ami de plume.
ANDRÉ
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Citation :
La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André LAUGIER)