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Tradescantia |
Envoyé le : 21/5/2022 4:17
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Plume d'or Inscrit le: 13/7/2021 De: Zhoushan Xiaosha Envois: 658 |
Misterioso vivace Treize-et-un tableaux
Avec le Diptyque de Leukaima
1
- Mais enfin !... Vous n'allez pas me dire... vous, Sherlock Holmes, vous n'allez tout de même pas me dire...
- Si, mon cher Watson, si ! C'est moi, Sherlock Holmes en personne, tout à fait sain de corps et d'esprit, qui vous le dis : dans cette enquête à nulle autre pareille, il est temps que nous laissions au surnaturel la place légitime qui lui revient !
- Ainsi, vous vous mettez à croire aux fantômes ?... Ou alors, serait-ce votre première renonciation ?...
- Rien de tout cela, mon cher Watson... mais, tout naturellement, la première vraie leçon qu'il m'est donné de recevoir de l'invisible !
Le chien des Baskerville
Sur la lande, elle court, blondeur fauve, à la brune, Vers l'auburn paternel des vitrages priés. Hugo, surexcitant son louvet, ses limiers, A bondi du manoir dont la pierre s'illune.
La proie est ce soupir pendant qu'un signe aboie, Noir, croissant, fantastique, enflammé de fluor ; Dans la meute il érupte, effusant le cruor, Et happe le maudit dont il montre la moie.
Voilà donc la légende ainsi qu'on l'a transmise... Or, tout récemment, l'hoir des Baskerville est mort, Un cryptide à l'entour empreignant sa mainmise.
Puisque la nuit transpose un genêt en rayon, Sherlock, tapi, s'émeut des ondes qui surdorent Le secret distançant l'élucidation.
2
Melancholica artificia
Son acharné désir d'oeuvrer au château du Louvetier avec la déclaration que ses brûlances résurrectionnelles délinéamenteraient les bêtes fauves
Assis immobile depuis la sommation occidentale les merlons lui lacunant la murmurière multitude il commençait à se sentir nocturne auteur de la désheurée
pour que volcane la géométrie de la tour où l'impulsion fatale mime encor la réponse il avait mystique pulvérisé et tamisé le tilleul où furent appris à l'enfant le parfum l'âme et l'altesse
Mais quel tranquille éparpillement sur une aire dont la ténèbre s'empare décisivement
Seule l'épiphanie du flambeau hurlé comprend cette soudaineté vermeille qui parsème l'aigremore
et croît exaspérée la clameur au pied du foyer invarié
un satellite en division renonçant sa complicité de nulle parcelle ignée ne douera le possible de la girandole
en interminable parachèvement d'arc il va en image ameutée des affinités violies
3
Cimetière rouge  ici le penser ne s'égaille plus ici les meurtrissures reçoivent leur baume d'aval et d'insondable proximité  une rose gironde s'ébat à la manière d'un coeur si près de la poitrine de pierre qu'argente et cuivre et dore ce prénom  la quintessence des soupirs fait ondoyer les grands saules pour un horizon ton chandail rouge s'effile accroché par les ressauts des premières étoiles
4
Loup ange
Montait de son aversion une aptitude à souffler l'hyacinthe et le safran qui fenêtraient le castel
mais d'un pas si duveteux la créature bimeurtrie en fit le tour envieuse des dyades possédées par le bal
À la lueur du regard d'aventurine jailli par intervalles réunissant les foyers en l'angle du carreau bien des cavalières rompirent leurs accolements
Des corolles glacées fouaillent son éperduement
irrépressible le vouloir de miniaturiser jusqu'à ce lanterneau qui s'emboue
et le cordonnet ignescent de l'horizon où ardent les pestilences aliformes avec l'immatérialité du message mêlées
au bord du bassin dont l'interroge le murmure liquide elle confie son insolite organisme d'expectation et d'accoisement
Le suède égal du pas précise la rencontre
Leurs mutités taillent le charivari pouls d'hypogée avitaillant la quintessence
Celle qui sera venue se redresse délieuse et présente son loup à l'ange qui ne remet pas l'allomorphie de son affliction
Ce princial copeau de planète veloute un silence inconnu
les étoiles effondrent la durée
des mots s'y sont parachevés avec l'empire de feindre la beauté intrépide et de férocer la vitalité du renvoi
L'axiomatique gré qui bat aux entrailles arrache les hommes l'un après l'autre
Sur ses intermittences de lustre où va croissant un démon l'instinct de prévaloir déchaîne ses cognures
Du sfumato pers le lancinement se ramifie
acharnée sa diadramance du jardin résolue à reprendre au triste
or quelle disparition recompose effluves comme allées !
Orphelin de rose et d'orangé puisque la lumière a appris la sépulture le sentiment d'aube ajoure les extrêmes
son accord des franchissements poudroie
La faim dépure la quête
par les lymphes exténuées l'appel sopranise
Gésir jusqu'aux mains stellaires à même les atlantes gamopétales jusqu'à la rémission des solitudes
et le papillon transfixe la diaphanéité des joues qui simulacrèrent la pression
quelque rai exauce un vol nué
Un peu de feutre mystique où
glisser l'approche
puiser les minuties d'altrosumer
si le velours a su masquer la figure putride il libère l'irradiance du deuil
L'étreinte d'entre les appétences humides a relevé
Qui danse métis une telle confirmation acquiert au vaste l'anacrouse
et sur le lissé de l'étoffe nocturne mime l'essor au sein de grands crayonnés d'ailes adamantines
5
Instant d'église
les spirales de mélanairain ont enjoint à la grille les récurrences avec leur dernière révolution délinéeuse de tarasque
elles se lovent autour des ors chétifs des simulacres albescents des platines tremblés de l'orient pariétal
et pour obliquer une croix ce ru d'ombres qui les corolle
l'eidétique arrière-fond filtre les prémices d'un pianoforte
de l'alme nocturne des sopranes moniales s'étoilent les voussures
6
Les heures limbiques
_La déréliction de rubis_
Sang fissile ses lamellivagances
les fétus tourbillonnent la feinte rapatrie ses ors
l'effarouchement sera blanchi par le vol
il reste au corps ce mouvement qui suranne les directions et va
espaçant les aubiers désunis
_Presque mars_
trémulements et fugitivités des ombres dans le jonquille et le brique des rideaux qui flambent en vouloir de fuseaux
ce sentiment de passement sûr et de destination qui inverse les frimas de la systole
Elles ont convergé vers un félin dont le sommeil encre les désirs du jardin
_Brûlions_
Radieuses de papillons les aventureuses chuchotaient leurs confidences afin d'attester le foyer commun à la robe et à l'aile
un souffle relayant leur soupir éclaireur les approcherait de l'envol
déjà leur complexion restituait ses sommes aux humus
... Précédant d'un instant de déploration celui-là qui a proscrit la rupture la mère est devenue feu
et s'il advient encor à l'enfant appréhensive de toucher par un levant aux ares du pré
continûment l'enceint cet incendie qui nue d'escarbilles la reverdie
et porte à la consomption le secret atelier des soieries printanières
_Extraction_
La transformation vaste de la gare est suspendue
la fixité du machinosaure domine l'amoncellement
d'une stridence recroît la rubrique du train décroît d'un crissement
noir soudain au bord de la béance un glissement va félinant les prémices du soir de gaze
avec les minéraux qui ambrent son regard
_L'heure limbique_
des étages acérins treillissent le chantier la convoitise du mouvement se calfeutre dans une éclosion de bâtisseÂ
en caillou myriadaire pyramide la mélancolie des jardins
une récurrence de poussière d'eau inachève la lumière cycnéenne
ambulatoire arcure un corps emmantelé rescape le bleu marine où vague un lactescent bouquet
7
Amourer
Ce soir-là Angélique ne rentrait pas
Après une portion de nuit accordée à l'attente, il apprécia de plus en plus l'énigme qui sourdait de l'accoutumance inespérément frangible
Les jours qui s'écoulaient changèrent l'épouse en disparue et les hypothèses échancrées et les élucidations écliptiques désennuyèrent un peu son oisiveté
L'écriture d'un livre commença à l'occuper, que la suspecte entraperçue silhouetterait inlassablement
Prié de se rendre à la morgue il nia psalmodique au dévoilement de la dépouille les évidences du cardigan encore presque turquoise et de l'anneau presque noceux encore
tandis qu'à un autre roman à un autre style l'invitait peut-être la lividité fantastique de la noyade
8
Route d'Alle
dans sa recrudescence ce dardement bleu où robinsonnent les lettres lucides
le dolent point de mire assermente l'itinéraireÂ
l'épanchement thésaurise la distanceÂ
des fruits d'ailes inversement se détachent et leur récolte-nielle ira pulvérisant la stationÂ
des soupirs du ponant la crueur apprend à exhaler sa lumièreÂ
la paille la réunit en son fétu que parmi la caillasse à l'orée du renoncement emprunte et allonge cette allure élytrale
9
Deux femmes et deux hommes
Sur la jointure délinéée d'une terre et d'un ciel ce que pèse le mûrissement de l'étoile cette ardeur d'épilogue funambule
et lilialement la main de diligence va déliant afin que la nacelle au mouvement soit dédiée
qu'elle fut l'adolescente surrégleuse du mystère en témoigne le diadème qu'elle soulève de la porcelaine du front et qui délivre la cascatelle de jais
le ponant s'enamoure dans la psyché des fulgurances minérales
mais dans l'ubiquiste éteignement qui flue il goutte
tandis que le reliquat lapide l'insurrection sparsile des berges jusqu'à convaincre de cris et de cruors les carreaux de rocou
Cette gracilité d'un corps sonore à la charybde du sombre inclinée tellement
et quel numineux sinon cette translation de mes dépures pour traduire en lexies ce canotage des silences entre la créature qui se taisait et la réticence du lémure
Un rêve d'île amarra l'améthyste sous l'arche
Ces turpitudes et ces entailles de mêlé-casse leur durée a donc un pont de crépuscule mais tout en bas plus que l'élixir des poumons prestidigitatrice une scintillation qui va muant la chute en agenouillement
sur la chance de la paume les nuances violines énumèrent les anges effus
l'orfèvre-joaillier qu'elle missionna la regarde être ravie de venelle en galerie précieuse et cycnéenne glisser
à chacun des passements de plus en plus ovés qui la tiennent désormais pour affine la ville retrempe l'escamotage
au sein de la transparence danseuse de confin à la façon d'un lance-pierre la prometteresse fait tournoyer la chaîne
Un tyranneau bleu dérivait sur le fleuve écarquillé une lampée lie-de-vin était sertie dans sa glabelle imprécisée toujours par les mirances aurorales de la palinodie
10
Au mur, derrière les moroses un triangle de lumière avec un triangle d'ombre la diagonale qui les joint élime mes acquis mes discours, mes canons mes succulences convaincues et la peur qui saille des nettetés d'encre ou de linge
11
Ces quelques mots en manière d'avertissement...
« Tout le monde doit mourir un jour, et n'est-il pas plus beau de vivre brièvement, avec honneur et courage, que d'avoir une vie longue dans des conditions honteuses ? » écrit, le 28 avril 1945, Maria Magdalena Goebbels, avant d'empoisonner au cyanure ses six enfants, puis de se donner la mort, avec son mari Joseph Goebbels, Ministre de l'Éducation du peuple et de la Propagande de l'Allemagne hitlérienne entre 1933 et 1945.
Il va de soi que consacrer à cet être qui a fait partie de l'humanité, ce poème de onze hendécasyllabes, ne signifie ni adhérer à l'idéologie de la fanatique, ni cautionner le geste démesurément, 'sublimement' dirait Marguerite Duras, tragique de celle qui fut aussi une mère.
Madame Goebbels
Ce sixième soupir redressant la mère,
Dans le cyan mordoré de la casemate, Elle appuie un long baiser sur chaque enfant Dont le prénom s'entend comme un aromate.
Puis, qu'ils s'essorent de l'empire qui tombe, Aux six elfes qu'elle a revêtus de blanc Elle chante le lied qui feutre la bombe.
Du battement elle fait une altitude Où peigner leurs cheveux d'or infiniment En passant les poisons de la turpitude,
Pour s'étranger de l'après l'unit au père
12
Et lui offrir un luisel
Se proposant d'onder la relique des symphonies le vol tréfila l'air désencombré
en note noire de manière que l'obstacle vaste fût effleuré il solfierait l'embryon
rais d'un est cloisonné des portées eurent jailli
travesti la coda pour jumelle vraie de l'anacrouse
La concorde des angles mitoyens esquissait le négatif étreint par sa lyre
de l'entier de son hoirie susurreuse le ponceau chantourné des règles revint diagonaler à travers les prestidigitations des voilages
Après que toute l'impéritie fut exprimée dans le point de langueur qui sourdait au comble du horion l'évanescence de la trace épigrapha l'imagier
Allumé le safran saumonée la cascatelle du linge qui a diaphanéisé le suspens de son hygrophore léopard
par-delà les poignes transformantes de l'hybris les agnosies du métal les quant-à -soi de la céramique se proclament au parsemis des réfléchissements
Affûteresse des phalanges la dépouille vole-affirme la descente anthologue des lenteurs en deçà des équidistances que pertuise et obombre un congé
or d'emblée pour fortifiement de l'essor le jaillir tout à sa formule d'eau puis outre l'incurie du tourbillon par degrés une sveltesse diaulescente jusques à ravir cet alifère écho luiselant l'insaisi de sa clouure astrale
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La moissonneresse
d'entre les fuligines moindries rayon d'éteule
limbes tétragonaux
effleuré l'abat-jour albescent l'oblique de leur coulé pendant que la prémisse du mur portée par un arrière procrastine
à considérer le chevet déjà ils manifestent un lambeau de rose accueillant comme un moïse la lexie abandonnée au plus sélénien de la nuit qui carrelle
leur mue aprilovalente filme la triade d'une défoliée dont les nervures ramifient des foudres à travers les mordorés
leur faucille d'ignescence trémule le long d'une inflorescence inconnue à l'eau juchoir pour la découpe d'un oiseau hématoïde à l'orée de l'abîme autant que de son premier trille
leur geste de besogne se noie dans leur ondoyant titane afin que chuchoteuse la dédorure d'un plein chagrin syllabe le spicilège des pains
en presque sar désormais foyer d'aglaophème et de pisinoé de parthénope et de leucosie ils élongent leur épousement jusqu'à l'angle qu'ils douent de fléchage et qu'ils approchent du dardement de la proue
et si quelque temps plus grave trouve à les brésiller l'évanouissement par degrés de leurs grains n'est point s'éteindre
affins de mes yeux ouverts que l'intermission de la facture onirique n'affide point au truisme corporel
la lymphe toute la lymphe a fui
une entrebâillure en manière de style dimidie le bleu silhouette des voilages
les plis fuselés et les croix ont figé la sveltesse l'élégance d'une chorégraphie dévouée à  la recherche de la prosternation fusionnelle
pour châsses deux hautes horizontalités pyramidales d'ombre et de tigrures enchargent le sang tout le sang dont s'étrange la phoenicophanie avec la rubacelle rêveuse de ru qui s'enfeuille
et l'adolescence du matin ira les scellant de lattis ocellés et d'air tout cheminant de ce qui poudroie et s'iriseÂ
Ensemble
Il y aurait leurs mains claires parmi l'aube prime il y aurait leur influx commun de l'assentiment à l'accolade
Leurs deux écritures se sont liées sur un papier en fleurs qu'elles abandonnent au sud injonctif du séjour un corridor comme infranchi les glisse si légères la fusion de leurs fois a éthéré la chair
Il n'a paru aucun prodrome qui va voilant un dessein d'or nul bourreau classique n'aura aiguisé leur acte mais, follets opalins si fugacement femmes, traverser une dernière fois l'automate multiple des villes le face-à -face des crocs de vitre où boulevarde l'ogre marchand
La lettre lucide et confinée thésaurise tous les mots et sur la falaise la mère et la fille se considèrent dans leurs vêtures désaliénées que moire une lumière d'aïeule et du germe de sourire procède leur jetée
Couleur du soir sur la mer il y aurait un oiseau il y aurait un essor de la houle à l'étoile
Diptyque de Leukaima
_dédié aux leucémiques_
I
Leukaima
rebelle à la stance carnée à l'encyclorubine à ses haleurs somnifères luire a transmué la falibourde des sémacèles en cet iris se paradisant de son hiatus
le testament caroliné par la défiance emmantelle la rotation de la vitrine saoule
poudroyée une brusquerie va mélodiant
photons hématies quintolets que la ravine soudaine ne discerne où désormais baller prévaut contre la chute
au déferlé des draps de morbidesse Leukaima fraye dans l'arithmodulie ce rameau tout absence
les frontons protestent de superstition leur trismégiste pierre il leur fulgore les causaux regards et avérément bâtisseur l'organe pluriel relaie
le découpoir des volutes égaille enfin l'huis des navrances coïncidées
et l'hôpital aura pour naufrage la désinvolture du flamboi qui va myriodérivant sur l'adagio auquel s'est affidée cette corporifiable systole
II
Leukaima s'embarquant à bord du Transmue-âmes
enfin cette justesse de feuilles et d'humus où s'étendre où rentraire au respire scient l'hamadryade qui soupire éployant le déliement de jais des cheveux et l'incarnadin des paumes sibyllines
comme il a compris tout le retour se prolonge à travers la complexion le bris de la ramescence qui est advenu sous la dernière richesse du pas
une bête faramine s'atomise afin qu'aoûte l'énergie autochtone
le léger tremblé de l'étang dilection des miroirs elle recompose le récipient de ses conjointes mains pour puiser la fraîcheur d'un plasma de cime et de ciel de vaticination de rose et d'orange pastel
et d'envol
elle contemple cette liliale envergure que la trajectoire va illuminant
depuis la libellule sertisseuse du marbre funéral et de la plante d'eau de la première rencontre parmi la xanthiosite clairant un espace conventionné avoir ainsi persévéré à s'ailer apparente à la nova des symbioses
avant que celle-là ne s'occidente dans les fugitivités de la rubrique revenue masquer l'élan elle a clos ses paupières
c'est en artisan de patience qu'y affleure le soir aux fins de réapprendre la sombreur pommelée de la fractale de l'oiseau
Tradescantia
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Sphyria |
Envoyé le : 21/5/2022 7:24
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Mascotte d'Oasis Inscrit le: 25/4/2021 De: France Envois: 27676 |
Re: Misterioso vivace
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islander |
Envoyé le : 21/5/2022 9:30
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Mascotte d'Oasis Inscrit le: 11/4/2009 De: Baltimore, Bretagne Envois: 57712 |
Re: Misterioso vivace
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Sybilla |
Envoyé le : 21/5/2022 16:22
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Modératrice Inscrit le: 27/5/2014 De: Envois: 95799 |
Re: Misterioso vivace Bonjour Tradescantia, J'admire ta superbe plume et tes poésies où l'on ressent ton infinie culture très approfondie ! Tout simplement magnifique ! Belle journée cher ami poète! Toutes mes amitiés Sybilla ---------------- Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.
Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)
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Tradescantia |
Envoyé le : 22/5/2022 5:35
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Plume d'or Inscrit le: 13/7/2021 De: Zhoushan Xiaosha Envois: 658 |
Re: Misterioso vivace Bonjour,
Cette Terre parmi ces myriades d'autres Terres, mais cette Terre où nous aurons ressenti, où nous aurons pleuré, où nous aurons ri, cette Terre de merveilles, de drames, de comédies, de douleurs, de vaillances, de renoncements, de convalescences, de persévérances, de joies, de prosaïsmes, de poésie, cette Terre-là , notre Terre file au coeur des infinis d'un mouvement misterioso vivace...
Gratitude à vous, compagnes et compagnons de voyage...
La journée vous soit ce suave don du mystère au vivant ! ...
Tradescantia
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NoireLune |
Envoyé le : 22/5/2022 9:51
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Mascotte d'Oasis Inscrit le: 20/11/2011 De: Où le rêve rit... Envois: 31974 |
Re: Misterioso vivace
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cyrael |
Envoyé le : 18/6/2022 16:17
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Mascotte d'Oasis Inscrit le: 30/10/2005 De: **** Envois: 83648 |
Re: Misterioso vivace Quand , la plume encre la page, le Verbe aime à s'exprimer, ce sont des proses fort belles que le lecteur pourra à son aise, trier.. afin de lire, ce qui lui semble intéressant je vais essayer de lire quelques extraits je vous souhaite un bon w end bravo pour ces beaux partages, merci à vous ---------------- l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo
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Aina |
Envoyé le : 18/6/2022 16:50
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Mascotte d'Oasis Inscrit le: 10/4/2013 De: Envois: 2666 |
Re: Misterioso vivace Bonsoir à vous, Troublants poèmes que je me garderai bien de commenter tellement les mots dansaient en tous sens que je n'arrivais pas à les rattraper ... J'en suis essoufflée. ( Sourire). Veuillez excuser mon incapacité de compréhension. Les mots sont parfois comme des oiseaux fous, jusqu'à ce qu'il trouvent le calme et la voie douce d'une branche musique où se poser. Merci pour ce partage. Il me semble, d'écriture, vous avoir déjà lu ici ? Aïna.
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Tradescantia |
Envoyé le : 5/7/2022 4:53
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Plume d'or Inscrit le: 13/7/2021 De: Zhoushan Xiaosha Envois: 658 |
Re: Misterioso vivace Bonjour Aina, Cyrael, NoireLune, Veuillez pardonner la discourtoisie de ce long oubli... Je suis reconnaissant à l'égard du temps que vous avez consacré à vos lectures et aux mises en mots de vos ressentis... La journée imminente vous soit quelque peu, comme y invite Arthur lui-même, l'un de ces longs, immenses, et raisonnés dérèglements de tous les sens, si propres, si propices à la la vision poétique ! ... Tradescantia
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