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     Le Florilège composé pour Raphaëlle
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Expéditeur Conversation
Tradescantia
Envoyé le :  18/5/2022 7:42
Plume d'or
Inscrit le: 13/7/2021
De: Zhoushan Xiaosha
Envois: 658
Le Florilège composé pour Raphaëlle







L'hôpital-kaléidoscope

Mon pas impropice à la chambre
Je le livre au soir fenêtré ;
La chevelure errone l'orbe
Dans l'étagement qui flavesce.

Comme les vaillances iriennes
Des turquoises me considèrent,
Braises de ciel parmi la mer,
Qui brûleront leurs tissus fins.

J'ai flagellé de mon sélam
De fiers albâtres impensés,
Épétalant le florilège
En indécis de roseur fée.

Au même moment que la nuit
Clame l'incarnat tessellé,
J'obombre des voeux longs qui m'ailent
Le sang de la jeune adieusante.







Chétive

de la gaze des ramures hiémales
s'extrait infime l'arc nitescent
venant s'inscrire dans son carcan
de presque halo

la pulvérulence du sagittaire
lacte les inatteints

le carquois vague et bée parmi les galaxies
étrangères à la formule multiplicative
de l'empenne et de la pointe

le fatum du disparoir est le trait dardé

il traverse l'arborescence
qu'a fusinée le premier instant de mon sang
impropice aux allégresses récoltantes







L'escalier de safran


Si malingre sur les rochers de la rive
sa peur désormais un foulard de soie dénoué
à même le vent
son sang malade cette voile blanche
continûment contre la pourpre ouatée du lointain

quand se confirme tout autour d'elle
la dernière fête de l'été
elle sent revenir le monstre exilé dans ses os
et elle esquisse le geste qui violente
avec la hurlée qui laisse seul

mais de rythmes et d'alcools la foule se cuirasse
...............................................................................

Son pas véloce et vaincu dans les rues innommables
les premiers luminaires acquis aux cheveux d'or
ruissellent le long de son corps

le jardin précise les lignes de son épuisement
devant la si ancienne bâtisse
qui joue à être son château d'enfance

le jardin mais aucun des bancs fallacieux
qui cernent le bassin et sa naïade de fer bleuissant

elle marche vers l'angle ravisseur
et s'étend sur l'étroit escalier
dont une lampe finement treillissée safrane la pierre

de son visage de neige elle attend la fonte

et elle lui parle
à la leucémie
comme à une féale
des décisives cavales

elle dit qu'elle voit ici
la couleur exacte de sa douleur et de sa solitude
qu'ainsi partagées
qu'ainsi déposées sur la nuit
comme le feu de l'âme sur l'encre du poème
elles ont moins d'empire en elle

les marches qui montent
et celles qui descendent
ne la concernent plus
elle s'endort au milieu de l'escalier de safran


À l'aube avec sa vie
s'éteint la lampe niellée de proies







Intervalle

Étique et paisible cet homme
dont les yeux réunis aux pensées
font un camaïeu de jais
Sa barque le porte debout
Dans ses mains boucanées
une épuisette s'arque
Il va épurant un seul geste
à l'émondoir de l'allure idéale
patient fouilleur de sa voie
cet intervalle de corolles et d'eau solaire
entre les chantiers qui tapagent







Les étoiles odysséennes

par myriades la vitrerie
ruisselle de la défiguration des ciels

les silhouettes charivaresques
enchevêtrent des phonèmes
où les mythes se sont amuïs

et je me serai enfuie vaine
parmi l'incandescence
qui ligote et pointille les grands conifères

échoient au spastique borée
la fantasmagorie du déliement fécond
et la ressouvenance des frémisseuses

affleurant diaphane ma nostalgie
un sachelet enfle
et tournoie
ascensionnel
par à-coups

mimodrame du baluchon de la galaxie







Prestidigitation

grands arbres de l'arrière-saison
ramescents pinceaux
qui variamment
imagez la fixité
sur la trame des ciels

la patience de mon regard
jusque-là votre épigone
aquarelle les prémices d'un vol

de la passerelle propice à mon voeu
tout l'évanescent pointillé







Le sagittaire féerique

pour arquer sa balustrade
un balcon
provoque le bleu marine

de leur bondissante récurrence
par-dessus l'étoilement qui sille
des dauphins l'ajourent

enclosent la liqueur nauséeuse
houlée par un corps lacunaire

ravissent
les oiseaux voilagés qui neigeaient leur essor

une nageoire de drap
blessée d'entrebâillure
affirme la plongée

et déjà découpeurs de la vitre
qu'un globe safrane
ils ne s'éteignent pas
ainsi dardés dans l'abysse nocturne







La jeune cancéreuse au lavabo

Depuis ce matin
le savon est un coeur rouge
Et les mains à laver
iront inéluctablement le perdant

Sur la blanche soucoupe sonore
où la jeune femme le repose
il commence de saigner
Grisée par le parfum nouveau
de longtemps elle songera
devant l'ovale d'un miroir
dont le reflet l'interdit

De ce coeur quelles seront
et la taille et la métamorphose
quand après quelques matins encore
par-delà quelques sursitaires fraîcheurs
venues aux poignets minimes
le rythme
qu'au fond d'elle il lui fait la grâce d'enhardir
aura cessé







Matutinale

Chienlit
des lueurs
des véhémences qui flamboient
des reflets colosses

et fouler le cuivré d'une ruine panique

ouvrir le sang
la mer des desseins
pour une vacance à notre image
pour une trouée où s'abandonne
le réflexe mâtiné de contrat

faire et penser
à leur dépouillé de silex et pyrite
dont un heurt encore

filigrane le sourire dans l'étincelle exhaustive







Lumière et soif

rayonna l'agrume
sous le gouttellement de la lame
et les lumières erratiques
et les reflets orphelins
se réunirent en le nectar

il s'évasait au bord de la table
concilié un temps encore
avec la rumeur du verre

sa franchise de flambeau
et le clair-obscur de mon sang
obvièrent à la promiscuité
pour tout le charme d'une demande :
que deviendra cette soif ?

quand la fenêtre eut un cri de corolle

son rose héritait

il s'allumait par degrés
bouleverseur de sa définition
et buvant les vanités du soir

mais soufflé
par l'alliance des heures et des sombres
il se lova déjà sous les patiences d'aurores

pendant qu'éparse dans le carrellement des alentours
fraîchissait une orangeade ambrée
pour le vivier des silhouettes
et l'adolescence des solitudes







Perrault perpétuel


un ovale d'eau encristale la nudité

comme sombrent
comme reposent
ouvertes les mains minimales

l'abstruse gestuelle
se disperse

la lamelle du savon
fleure un végétal à réinventer

l'éclairage s'étant lassé
son reliquat atermoie dans les délicatesses de métal


il a semblé qu'un déchiffonnage de papier
préludât au conte du boîtier

ahane la musique
du ballet
les voix débonnaires
et fées relaient


S'endormir
incidence de la meurtrissure promise par le fuseau

un sfumato alite
oiseleur de bleus amuïs


Un secret
sur les lèvres
enlumine
son effleurescence

redressé
son rough
le corps
ruisselle

et sur la buée du miroir
échange son entier reflet
contre cette arabesque d'une fugacité de prince







Vernale

avec sa cambriole d'incarnat
s'enfuit la neige féline

l'instant désaliéné
va roborant l'escapade

cette convalescence d'un sud
dans la reverdie pétillée
où le bris considère

le prélude à la corolle
aune le pas d'effaçure

et susciteur des mille ajours
ondoie le soufré des lisières







Raphaëlle peignait son printemps


cette piaillerie
se sera emparée de l'après-midi
et l'aura retenue


Or un sabot
égal
transparaît

- cavalier
en ton prodige serein
tu sais une traversée
par laquelle tu ne t'éloignes

ni ne t'approches -


le meurtre
du méditatif losange
borne l'aquarelle


Afin que se désanéantisse la rencontre
le regard pers
favorise une arborescence
dans la furieuse effluence d'andrinople







Le blanc et le noir

Neiges
cendre d'une candeur
après un feu
qui oisela le corps

ubiquité
de la métamorphose

renonciation
au chemin des fondrières

sous les vaporeuses intermittences
d'une étoile de platine
le deuil
partage ses empreintes
avec les grandes terres blanches

le noir déjà
dans un long jet d'oiseau
a ouaté son itinérance







Musicaline

découpé dans l'aisceau
l'acajou d'un bestiaire
où proémine le dragon sentinelle
dont les abiès aplombent l'haleine ignescente
avec une goutte de soleil
que le deuxième brin de sol
ne laisse pas d'instiller

arachnéens
les ajours disséminent
un infime tremblé de cordes de lyre

à travers les heures lentes
avec des sons secrets d'étoile
une à une les notes cycnéennes
se départent des corolles

qui vont par-dessus le rose diamantin
s'inclinant vers l'orphée perpétuel







Suicidaire

sous le bleu germinal et laïque
un tréfileur safrane
elle a son orient
l'entaille qui subjugue

la veine de roseau pers
dans la vannerie des rayons
des diagonales abiétines
et des rues qu'orangent les longs soirs

la chair a capitulé
calme refrain des os
effusion de froment clair
sur les neiges de l'adret







La fenêtre du guérir


un geste
encore
à la crête du sang

maléficiante affirmation
et s'éteignirent les couleurs tissues
qui mentaient par tant d'oiseaux
évanouisseurs de vitre

avant les vespérales prémices
sur les rayons naïfs en leur délai de charmille
le demeurant de la pluie
suspend un penser de transparence
au rose pâle du pétale

un diamant traverse
astral payeur du dilatoire
de la chute


Cette soif nouvelle
donne au recueillir
une forme d'oeil sans le périssable

céladons et pourpres obombrés
une frondeuse bouquetière
avec un infime de lampe
déploie le papier cristal de la nuit
où se délient et s'éthérisent les corolles







Surréelle

les douze dernières marches
de l'escalier
s'évanouirent
dans le même temps que sonnèrent les douze coups
de midi

et je demeurai suspendue
appartenant par degrés
au poudroiement des horloges







Chambre nomade

le lé des éléphants de moire
s'émeut à de soudains cortèges
clairant ses plis paysagés

la lucarne déguerpie
un losange voyage la lumière
au long du mur balafré

la serrure appesantit sa réflexion
l'angle feint de briser
le nuagiste d'éteindre

mais bouquetière sans cueillaison
elle muse déjà sur le papier peint
rappelé à la corollescence

et son fidèle éclat épousant l'oreiller
un indistinct de feuilles et d'ailes
emporte la jeune sommeilleuse







Purifiât

à mon retour enfin dans le respire
dans le volume secret tenu pour la chambre
le brasier des voilages silencés
en faveur des épiphanies du rose

chaque victuaille est attablée par la lumière
le pain des spicilèges blondoie
le diamant fraye dans l'eau
l'agrume s'affide l'enlumineur

toute la charge du sac mélanérythrin
mon épaule de lune qu'hémosigne son enfonçure
les foudres de moelle qui auront parfait mon épuisement
sont les affines du feu idéal

jusqu'à la chrestomathie des cendres
qui délinéamente des vols
venus rentraire la paroxystique ardeur
à l'innocence de la métamorphose







Fenêtre d'immaculation


équerre d'abondance
des traits se croisent
à l'inassouvissement du voir
frères de sombre et de safran
sereins débords de luminaires
sur la vitre insomnieuse

le bleuir qu'on parcelle
mais nulle anachorétique aventure
pour s'essentialiser d'un pareil lot

les verticales assénées et les sols
les ramures et les silhouettes monotonisées
l'alphabet des rabâcheuses santés
se récréent dans la surprise de la blanche issue

murmure-moi psyché leucémique
ton oracle d'osséine !


Il y aurait le passage
du verre déréel
et fluer en linges épars
atteignant aux lendemains

pagailleuse aorte de neige
achiffrante aiguadière d'une radieuse liqueur
à travers le silence d'hôpital







Le thé de la mer intime

parent de l'abat-jour
qui ne se sera pas éteint
à même les intermittences de la nuit
le thé
se coule
dans la patience transparente d'une tasse

à travers son ambre sobre
où se ramifient les timidités du rose
le papillon qui éploie un coffret laqué
enfle ses ailes

voiles
dont le voyageant parfum
afin qu'infime par infime
se déconsidère le vieux cap
détisse les fastueuses ocelles
sur une étale sans partir
donnée à l'instant clair







Atypique rose
 
à épanouir d'aquarelle 
sur le mur sa roseur 
le calendrier prévaut contre la fenêtre 
 
avec son résolu qui rosoie 
la corolle surmonte l'énumérative coulure 
et paysage un plus étonné regard
 
après si long temps de boucles luies
le sang y décèle sa destination 
 
où le pétale serre le pétale 
suffit
à l'absorption de la plus carniglyphique des heures
 
et les aigus dont s'argentait le dardement du passage
ont part au soupçon d'effluve 







Chambre liquide

Enfin sourcée par la nue vaporeuse la lumière flue
le carmin des voilages infuse
haute la rose s'y baigne et s'y retrempe
émancipée du vase des funèbres versées
et la pâmoison qui va l'arquant
par-dessus ton portrait
si marine déjà malgré l'écrin talismanique
malgré la porcelaine les reliures
voués à tant d'étincelles
sémaphores des liens brisés
sur l'inenvisageable littoral







Par les yeux d'hôpital


ouverte
la fenêtre
méconnu
le geste
raturé de rayons
qui l'autorisa

un voilage
embrume la poignée
la provision quadrillée
repaît le vaporeux
les plis convoient
plus essentiellement que les veines

cloche et pouls
en alternance
jusqu'à la confusion
du battant aortique

un estompement de bestiaire au fusain dubitatif
s'émancipe de l'arbre

des surgies de lumière
espacent la promiscuité d'argent et d'ardoise

quand donc devint caduc
le colifichet des corolles
dont s'effeuillaient les aurores ?


Étoile injonctive
éclatant débord
lave de platine
où migrent les horizons
pour le frai des candeurs

et les vieilles substances et matières
cèdent à leurs ombres qui frissonnent
ondoyantes et diaphanes







La connivence des ors


l'ample mauve où s'étendre
délasse des blancheurs d'hôpital

l'escalier
pour bannir un dernier fredon
exauçant par degré un long voeu de silence


la chambre conjugue la fenêtre neigée
avec la lampe des nuits transfixées

les huiles alchimiques
nettes des vieux motifs
éclipsant ce qui cèle et les bois négateurs
atteignent aux lumières aventurières

le rouge dolent a troqué la distance contre le rayon
et sur la tranche du florilège
flamboie la tessiture
dévouée aux poèmes à venir




Tradescantia







Peyrepertuse
Envoyé le :  18/5/2022 7:51
Plume de platine
Inscrit le: 13/1/2016
De: Orange
Envois: 7434
Re: Le Florilège composé pour Raphaëlle
Un bel exercice d'écriture plutôt réussi mais c'est quand même un peu long.

Amitiés.

Sphyria
Envoyé le :  18/5/2022 7:53
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 25/4/2021
De: France
Envois: 26236
Re: Le Florilège composé pour Raphaëlle
Belle lecture touchante, emplie d'émotions et de termes rares !
NoireLune
Envoyé le :  18/5/2022 8:51
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 20/11/2011
De: Où le rêve rit...
Envois: 31974
Re: Le Florilège composé pour Raphaëlle


Bonjour à vous...Tradescantia
Des pépites qui nous concernent même si elles ont une certaine destination

Très amicalement...



----------------
La Poésie ça sert à faire du bien...
ça dénoue le négatif...
et ça devrait être remboursé par la sécurité sociale...

Tradescantia
Envoyé le :  19/5/2022 6:19
Plume d'or
Inscrit le: 13/7/2021
De: Zhoushan Xiaosha
Envois: 658
Re: Le Florilège composé pour Raphaëlle
... Fleurs de Gratitude, en ce jour nouveau, d'avoir ainsi accompagné Raphaëlle au coeur de son florilège...

Il y a ce substantif : destination... Il y a ce verbe : concerner... Le bouquet proposé ici, avec ses différents épisodes, cette composition s'intitule 'Pour Raphaëlle' ; or, le coeur de Raphaëlle est tout le contraire de la possessivité, aussi, s'il se trouve quelque passante, quelque passant, pour faire halte un moment du temps terrestre qui lui accordé, pour se sentir peut-être concerné-e à la lecture de ne serait-ce que d'un seul de ces épisodes, de ne serait-ce que d'un brin de syntagmes, d'un soupçon de syllabes d'un seul de ces épisodes, alors, avec Raphaëlle, nous en sommes encore un plus radieux...

La journée vous soit prodigue de ces mystérieuses allégresses du Vivant éphémère ! ...


Tradescantia
Sybilla
Envoyé le :  19/5/2022 16:19
Modératrice
Inscrit le: 27/5/2014
De:
Envois: 93757
En ligne
Re: Le Florilège composé pour Raphaëlle
Bonjour Tradescantia,

Magnifique poésie où tu nous contes cette histoire emplie d'émotions intenses !
La possessivité abusive ne peut qu'engendrer des maux pour celui ou celle qui la subit !
Personne n'appartient à personne !
Nous sommes toutes et tous notre propre entité !



Belle journée cher ami poète !
Toutes mes amitiés
Sybilla


----------------
Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

islander
Envoyé le :  20/5/2022 3:17
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 11/4/2009
De: Baltimore, Bretagne
Envois: 57481
Re: Le Florilège composé pour Raphaëlle
magnifique poésie, comme un vitrail, on devine mille "sensations" dans le lieu particulier , l'hôpital, je suppose ???? un poème qui sera surement apprécié de tous ceux concernés par des séjours difficiles, vous transcendez admirablement ce "voyage" douloureux, merci


yann




Tradescantia
Envoyé le :  22/5/2022 5:04
Plume d'or
Inscrit le: 13/7/2021
De: Zhoushan Xiaosha
Envois: 658
Re: Le Florilège composé pour Raphaëlle
Bonjour,


Vos chaleureuses visites au coeur du Florilège de Raphaëlle...

... La fragilité, la fugacité charnelle a en effet aussi sa part, essentielle, de voyage... à travers le kaléidoscope des rouges et des blancs qui s'évertuent à retrouver l'équilibre de leurs forces, comme Yin et Yang... et prendre congé de la vie terrestre est une métamorphose, exactement comme y entrer par la naissance...

Chaleureusement reconnaissant...


Tradescantia
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