Quand on écrit des femmes
Quand nous sommes loin d'elles nous soupirons de mourir
Il n'y a nul desirs nos coeurs ne sont que faïence
Nous souffrons du manque de leurs présences
Nos passés d'été sont d'hiver loin de leurs doux sourires
Nos coeurs s'éteignent dans la clarté du soleil
Nous sommes aveugles sans leurs lumières
Il n'y a nul repos loin de ces rêves nul sommeils
Il n'y aurait nul avenir sans nos yeux croisés hier
Elles sont les gardiennes de nos demains fous
Loin d'elles nous pleurons dans nos mouchoirs les larmes d'un enfant dans le désert
Nous ne sommes plus deux plus qu'un triste nous
Il nous faut tremper dans l'encrier les plumes blanches des mésanges dans les cieux les airs
Pour leur dire que
Nous ne serions que de pauvres fleurs que papillons ne viendraient butiner
Que l'horloge ne sonnerait minuit toutes nuits
Que ce temps sans elles ne serait qu'ennuis
Que sans elles que sans amour nous ne serions plus que peut-être et ne serions pas nés
Ma femme c'est pour toi que je m'incline
Ma femme c'est pour toi que ma plume decline
Ton amour
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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann