NOUS DEUX

Comme l’oiseau sur la branche
je me suis posée sur ton cœur
j’ai tendu mes mains vers toi
je ne peux pas oublier rien
ni tes baisers délicieux
ni ton air coupable rien
ce n’était que pour moi seule
non je ne peux pas oublier

comme une chanson douce
une passion qui pousse
doucement vers l’amour tendre
pour venir mourir dans le creux
de nos mains ce matin là
tu m’as dis c’est fini c’est mieux
je ne peux pas je ne dois pas
tu verras avec le temps tu sais
tout s’efface et tout passe
tu ne peux pas l’oublier lui
ton ami ton complice

ton ami qui m’a quittée
un triste soir de novembre
je ne l’avais pas mérité
et pourtant
pour partir je ne sais où
pour l’éternité
me laissant seule sans amour
dans la peine et les regrets
je n’ai pas cessé de pleurer


je n’attendais rien de toi
je n’attendais qu’un peu d’amour
et te faire tout oublier
oui je te plaisais je le sais
mais tu te souvenais de tout
des moments avec lui, des mots
de tous vos souvenirs morts


tu m’as laissée malheureuse
tu m’as laissée c’était mieux
pour toi

Tu as fait du chagrin d'amour un beau collier poétique...
Anne, tu es tendre!

bouh....tristesse

mais des fois partir c'est mieux....


bel écrit j'aime

amitié michel

Des reflets de tristesse dans ce poeme mais aussi une grande force de caractere !
Bravo !

Sandrine

C'est très beau mais bien triste.

amicalement

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La Musique est une révélation supérieure à toute sagesse ou philosophie (Ludwig Van Beethoven)