Chères poétesses et Chers poètes : CHRIS-RAY, ISLANDER, CYRAEL, SYBILLA, ZAGHBENIFE, SANDRE, TONIN, SPHYRIA, MARIA pour votre complicité de lecture ainsi que vos aimables et généreux commentaires sur cette "fantaisie" inspirée d'Alfred de MUSSET.
N'y-a-t-il de "petit coin" plus important que celui qui nous rassemble autour de la bonne humeur, de la complicité et de la drôlerie ? Les mots n'ont pas d'odeur mais ils "fusent", eux aussi, en toute liberté, et il ne faut pas hésiter à les ...lâcher. C'est, en quelque sorte, mieux se "sentir" pour bien écrire.
A un dîner très chic, Paul VALÉRY, qui était un grand amateur de cassoulet, lâcha un petit pet qu'il pensait discret, puis tenta de noyer la chose en faisant grincer sa chaise. Son voisin lui glissa alors à l'oreille: "Cette fois-ci, M. VALÉRY, la rime était très difficile."
Je vous souhaite à toutes et à tous une bien agréable fin d'après-midi.
Toute ma considération poétique.
ANDRÉ
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Citation :
La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André LAUGIER)