MARIA-DOLORES a Ă©crit :
Conte la nouvelle
Écoute l’éphémère à la nuit caressante
Le sort en est jeté vers le ciel étoilé
Éclairant sous la lune une brume naissante
Des flocons se posant dans ce monde égalé.
C’est la froide saison, le soleil est bien pâle,
DĂ©muni de chaleur, il faut bien se couvrir
Et ce diamant pur offre une joie opale
Laissant dans le jardin une odeur y mourir.
Sur une onde océane une écume s’exprime
Au poète annonçant le chemin d’une rime
Si fidèle que soit le charme d’Érato.
Lorsqu’il donne l’espoir sur la route attentive
On ne reconnaît plus dans ce trouble ghetto
Et chacun imagine une foi créative.
Le destin florissant
Anime la chimère en fragrance rebelle
Sous l’ivresse de Nyx se ferme une prunelle.
Cet Ă©moi coruscant
Vient enivrer mon cœur dont l’élan se révèle
Quand la douceur des mots raconte la nouvelle.
Maria-Dolores
Bonjour MARIA,
Une poésie brillante, aussi superbe dans le fond que dans la forme. Tu excelles, Chère Amie de plume, dans cette sensibilité et habileté du langage habillées par la force des images qui donnent un relief particulier à tes émotions, avec une musicalité des vers qui ne peut que conquérir tes lecteurs.
Que de charme, de poésie et de distinction dans ce tercet (entre autres) :
"Sur une onde océane une écume s’exprime
Au poète annonçant le chemin d’une rime
Si fidèle que soit le charme d’Érato.Tu es au faite de ton Art !
DE GROS
marseillais.
ANDRÉ
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Citation :
La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André LAUGIER)