J’entends les vagues monstrueuses du silence.
Et le gémissement apeuré de la nuit
Mystérieuses abondant en flot, sur mes ennuis.
Malgré cette marge occulte de l’espérance.
Domptant les aléas de la vie ses tourments
Qui menacent de nous engloutir, dans la fange.
Nous enfoncer dans les entrailles éperdument.
Bravant toutes les tempêtes et les orages
Inspirant, de l’éclair son rayonnement.
Créant un chemin lumineux dans son passage.
Bien que le souffle du vent, a chaque moment,
Vient déchirer le secret de ces murmures étranges.
Puis, s’installe comme un joug qui pèse longuement.
Marée haute, marée basse vers tous les sens
Parfois cadencés sous l’effet du vent et de la pluie
S’estompe cette lueur rêvée, puis reluit.
L’espoir de vaincre ce mutisme par outrance.
Ziriab le 13/01/2022 ( T.D.R)