Nul ne peut endiguer les flots du fleuve temps
On regarde, étonnés, la fuite des printemps
Les souvenirs sont là et fort heureusement
S'y promener est très réconfortant
Même si l'automne est là , de givre et d'or mêlant
La plume du poète au spleen du récitant
Adésias, moun Camin
Parceval