Beau négrillon survivant sur la Guadeloupe,
Avec trois euros six sous, mais parfois sans toit.
Tu me nommes «zoreille», charme de l’endroit,
Pourtant, je me sens étranger à cette troupe !

Venue bâtir chez toi de quoi bronzer la croupe,
Puis un grand port accueillant les jours de suroît,
Ces bateaux hors de prix, qui nous laissent, benoît,
Il faudrait en mettre des poissons en chaloupe!

Pour gagner ces millions d’euros, maigre somme,
Une dizaine, un vil pourboire pour cet homme,
Quand toi tu n’as parfois, pas même un bout de pain!

Ton île est en feu, alors la belle machine,
Ailleurs on l’a garée, sur un îlot lointain,
Relire ces écrits, hérisse mon échine.

j'ai découvert votre poème , il me revient en mémoire...

le mot zoreille *
celui ci , est très courant dans le langage créole
pour désigner le visiteur ..

bravo pour cette forme d'humour

il était une fois...la ... transat ...JACK Machin...

il s'en passe des choses...bizarres, là bas...

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"La croisière s'amuse" et beaucoup n'ont rien ou si peu, en effet !

la vie et ses drôleries de ce temps

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/

Bonsoir Sandre,

Un beau voyage poétique sous ta plume !



Belle soirée!
Amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

Bonsoir Sandre

Un poème surement portant sur l'actualité actuelle,
Merci du partage bonne soirée amitiés

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Étonnant n'est ce pas, le peu de commentaires révèle bien cette atteinte à la pudeur commerciale

qui sans qu'on le dise, dérange bien et de plus l'encre met si longtemps à se volatiliser !!!

Je voulais dénoncer ce fait, moi qui sponsorise à mes dépends un de ces bolides, ça ma banque

sait bien y faire !

Merci à ceux qui ont osé !

Tout, aujourd'hui, dans le monde du sport, passe par le sponsoring, donc l'argent, le blé, l'oseille, le flouze, bref, rien ne se crée sans pub et marques de toutes sortes...

Alors, ton poème, montre bien, ce fossé qui s'est creusé entre les îliens, guadeloupéens, et autres voisins et les métropolitains, pour la plupart qui s'amuse avec quelques milliers(ons) d'euro à faire le tour des îles, même sportivement, pendant que l'autochtone, lui, à du mal à manger à sa faim...

Je comprends tout-à-fait que l'on puisse râler à ce propos, dans lequel je n'ai point vu de chose à rire...

Amicalement...

Hubix.

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bonjour à toutes et tous, je viens découvrir ce nouveau site, pour moi, en espérant pouvoir partager la passion de la poésie avec chacun(e) d'entre vous... Merci d'avance...