Lorsque je me perds dans mes réflexions
Survient cette fâcheuse obsession
De voler en-dehors de ces briques
D'accroître les panneaux du diptyque.
Cet humain univers glacial,
Parsemé de lumineuses
Et tristes géantes gazeuses,
S'égare dans les feux du bal.
Dans toutes avenues pittoresques
Que de figures grotesques
Dans tous bâtiments érigés
Que de mobilier qu'on ne peut sauver.
Dans toutes forêts abattues
Notre chère Mère ne sourit plus
Et quand le monde se consummera
Voyez que l'or ne se mange pas.
22 mars 2021
Hamelyre