Allons enfants de la fratrie....
Voici venu le temps pour moi de raisonner
D’user de mots choisis qui savent bien sonner.
Le cœur et l’âme en peine ont besoin d’une écoute
D’une belle attention qui prévient mais qui coûte.
Respecter son prochain, sans décret proclamé
Devrait être un devoir d’un transport acclamé.
A-t-on pour se soigner quelque meilleur remède
Qu’un regard bienveillant pour servir d’intermède.
Que l’happé du Saigneur soit toujours avec nous
Et ne promette au sol plus jamais ses genoux.
Jaugez donc sans tarder l’équité de la cause
Qui permet au peiné d’apprécier cette pause.
Jouez donc de cet art qui permet le succès
D’un élan qui se veut dispensé sans excès.
Vous aurez, pour le coup, d’un soutien fort notoire
Fait changer le trajet d’une bien terne histoire.
Or l’être concerné, cloîtré dans sa maison,
Saura faire savoir que vous eûtes raison.
Pour l’avoir écouté d’une aimable tendresse
Il aura des souris pour toucher votre adresse.
Alors en syntonie et grâce à votre apport
Vous aurez accosté aux quais gris de son port.
Éclairons sans ciller les zones de pénombre
Pour que les claudicants avancent sans encombre!
Nous avons pour valeurs avec la liberté
L’utile égalité et la fraternité !
Qu'il en soit donc ici sur cet amène site
Qui, souvent, des plaignants le Moral ressuscite.