Petite douceur trop souvent oubliée mais qui réchauffe nos pensées,
Qui vient apaiser nos maux et guérir nos cœurs souvent déchirés,
Beau et simple mais rejeté par des personnes qui ne comprennent pas,
Que ce moment d'étreinte est un bonheur inégalé dans le trépas.
Souvent l'envie de serrer quelqu'un contre mon cœur tendrement,
Permettant de lui faire comprendre que je l'aime tout simplement,
Pouvoir sentir contre mon corps son parfum enivrant de douceur,
Avec l'espoir qu'elle laisse enfin s'ouvrir les sentiments de son cœur.
Ne plus savoir si franchir cette ligne est interdit ou secrètement attendu,
Faire naître doucement en elle des désirs peut-être sous-entendus,
Pouvoir enfin entrevoir en cet amour impossible un beau chemin,
Qui pourrait nous mener tout droit vers un magnifique et doux destin.
Mais quand l'envie dépasse l'entendement est-ce que je peux vraiment,
Prendre cette femme dans mes bras et la serrer contre moi tendrement,
Lui dire que je l'aime et que jamais plus je ne veux être loin d'elle,
Que sans sa présence dans ma vie j'y perdrais pour toujours mes ailes.
Un câlin mon amour, que j'aimerais que cela vienne enfin de toi,
Que tu veuilles me serrer tout contre toi rien qu'une seule fois,
Que tu ressentes tout l'amour qui transperce les pores de ma peau,
Que tu te laisses aller à l'amour et ce qu'il en est de plus beau.
Calliopé37
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Calliopé37 (Luciole)
