Bonjour Daniel
De la vie, de ces femmes , programmée par les hommes.
Elles n’ont jamais eu leur mot à dire ...
Pour ces femmes , cantonnées dans des activités qu’on leur a assignées sans en avoir, jamais, été consultées...
Victimes du masochisme...:
misogynie, discrimination, minoration, crimes, lynchages , répudiations maltraitances, ..... etc
Porteuses de lourdes charges de bois ou autres ,( même dans un âge avancé..)sans aucune aide , leur cassant le dos , vieillissant leur squelette bien avant l’âge….
Partout, dans tous les pays, femmes bafouées….et tout ce que l’on en sait d’horreurs …..
Des statuts qui évoluent lentement, ici et là, mais qui n’évolueront jamais pour certaines prisonnières des traditions souvent à leur désavantage.
Merci Daniel pour ce pertinent et humaniste poème qui traite d’un sujet existentiel des plus brûlants.
Amitiés
Nat
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Je m’excuse de la longueur de ce qui suit mais en tant que femme, un sujet qui me tient à cœur…
Voilà quelques pensées , entre autres, désastreuses à l’égard des femmes divulguées par ces personnages au long des siècles !
« En tant qu'individu, la femme est un être chétif et défectueux. »
(Saint THOMAS D'AQUIN (1225-1274), Summa theologica, XCII, I.)
« Homme, tu es le maître, la femme est ton esclave, c'est Dieu qui l'a voulu. Sarah, dit l'Écriture, obéissait à Abraham et l'appelait son maître. [...]
Oui, vos femmes sont vos servantes, et vous êtes les maîtres de vos femmes. »
(Saint AUGUSTIN (354-430), Sermon 322.)
« La femme, si inférieure par le pur intellect, la femme qui ne raisonne pas, ou raisonne mal, par contiguïté, a-t-on dit, et non par continuité ;
dont la conversation primesautière, intuitive et charmante, toute par parenthèses et soubresauts, ignore l'ordre et la méthode, n'en est pas moins,
et sans le savoir, capable de toutes les altitudes, mais non de toutes les abstractions...»
(Joseph SERRE, La Lumière du coeur, 1909.)
« Il est malheureusement trop vrai qu'aujourd'hui, grâce surtout à l'éducation malthusienne et à l'infécondité, nous avons des femmes qui ne sont plus des femmes: ce sont des êtres hybrides. [...]
Avec ces êtres, il faut procéder autrement qu'avec les femmes ordinaires.
Les caresses sont inutiles, c'est peine perdue, elles n'ont plus de coeur. Il faut procéder par voie d'autorité, par voie de force.
Elles se croient des hommes, il faut leur prouver péremptoirement qu'au moins physiquement elles ne sont que des femmes.
Elles sont fières ; il faut les humilier. Elles veulent être absolument maîtresses de leurs faveurs ; il faut s'attacher à les prendre,
surtout quand elles ne voudraient pas les accorder. Elles ne veulent pas enfanter ; il faut les féconder sans trêve ni repos.
Et c'est ainsi que ces êtres redeviendront de véritables femmes, avec le coeur, la tendresse, la sensibilité, l'amour,
même avec cette beauté féminine aux formes arrondies qu'elles n'avaient plus.
Voilà le programme : l'exécution en est-elle difficile ? Je ne le crois pas
(J. DU VALDOR, Les Signes de la fin d'un monde, 1893.)
« La femme a été peu ou mal étudiée. Nous avons des monographies complètes sur le ver à soie, sur les hannetons et sur les chats, et nous n'en avons pas sur la femme. »
(P. MANTEOAZZA, Physiologie de la femme, 1911.)
Troisième et dernière partie du florilège sur la femme, Alexandre (11 Janvier 2005) a gardé le "meilleur" pour la fin. :""Je pense qu'on touche le fond, et qu'il sera difficile de trouver pire... Dans la série des mabouls qui se prennent au sérieux, Alexandre (11 Janvier 2005)vous présente :
De Mr August Strindberg :
"_« Il était réservé à notre époque de découvrir, entre autres choses, que la femme est une forme rétrécie de l'homme.
La femme est inférieure à l'homme.
L'oeuf de la femme est une forme de cellule inférieure, non automotrice, tandis que le spermatozoïde est susceptible d'un développement supérieur,
et féconde activement, étant automoteur, à l'encontre de l'oeuf féminin qui, lui, est passivement fécondé.
Enfin l'homme possède des oeufs à l'état rudimentaire, tandis que chez la femme on ne trouve pas de spermatozoïdes même à l'état rudimentaire,
d'où il découle que l'homme est bien la forme supérieure. [...]
Un détail qui paraîtra probant aux darwinistes, c'est que la femme offre une vertèbre caudale de plus que l'homme et se rapproche ainsi de l'enfant et de l'embryon. [...J
Un garçon aspire plus d'oxygène qu'une fille. [...]
Puis le cerveau de la femme présente moins de circonvolutions que celui de l'homme et chez elle la substance grise est plus légère que chez l'homme
au contraire ses nerfs sont plus forts, ainsi qu'on le remarque chez l'enfant.
D'où sa faculté de pouvoir supporter plus facilement certaines douleurs physiques ;
en quoi elle ressemble au sauvage et cela prouve aussi qu'elle a un système nerveux plus grossier.
Des anthropologues ont trouvé ce qui a été confirmé par des explorateurs africains que le crâne de la femme blanche se rapproche de celui du nègre
et que le crâne d'une négresse est inférieur à celui d'un Noir ; la conclusion serait donc que le crâne de la femme blanche se rapproche d'un type de crâne qui rappelle une race inférieure. [...]
Quoiqu'il ait été fait peu de recherches à cet égard, les sens paraissent chez la femme inférieurs à ceux de l'homme.
Le toucher n'est pas aussi développé chez la femme que chez l'homme.
Certes, sa main est considérée comme délicate et souple ; mais ceci tient surtout à un dépôt plus abondant de graisse sous la peau.
Jamais encore la main d'une femme ne toucha d'un instrument de musique ainsi que celle de l'homme.
Pensez à Rubinstein, Liszt, Paganini ! Quelle main de femme aussi facilement que celle de l'homme déchiffre au doigt les caractères d'imprimerie ?
Quelle main de femme sait aussi bien « stopper » un vêtement de drap que celle de l'homme?
Il n'est point de télégraphiste féminin qui puisse recevoir, par audition, un télégramme, aussi vitement et aussi sûrement qu'un télégraphiste homme.
Pour ce qui est de l'odorat, il ressort des recherches comparatives, faites par MM.
Nichols et Bailey, et présentées à la Société américaine pour l'avancement des sciences, que le sens olfactif est,
chez l'homme, incomparablement plus sensible que chez la femme.
Des hommes ont pu percevoir l'odeur de l'acide prussique dissous dans une quantité d'eau représentant 100000 fois son poids,
tandis que les femmes cessèrent de le sentir dans une solution de 1 pour 20000.
Les livres de cuisine n'ont d'autorité que lorsqu'ils sont signés par des hommes.
La femme ne possède que très rarement la faculté de pouvoir fixer son attention sur un objet donné.
De là cette incapacité si commune chez la femme par exemple :
elle ne peut pas apprendre à bien faire du café, ce qui n'exige cependant que de l'attention, de l'exactitude et le sens du temps.""
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Et autres considérations aussi absurdes et désobligeantes répandues et imprégnant les cerveaux.. pour des siècles .....
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Les haillons de l’amour ne se reprisent pas .
Nataraja.