Ne sont-ils pas une souffrance,
Ceux que l’on aiment....
Une ombre sur nos cœurs,
Lorsque l’on connaît les vérités....
Celles qui mènent aux malheurs.
Aux heures de la nuit,
Les larmes se font prières...
Faites d’espoirs, de culpabilités.
Qu’aurais-je encore à dire,
Si de mes faux pas, ils se perdaient...
Qu’aurais-je encore à vivre.
Le silence serait ma demeure,
La nuit serait mon antre....
Mes paupières ne trouveraient repos.
Écoute moi Suprême des cieux,
Si je suis père, je sais que tu l’es aussi...
S’ils devaient sombrer dans la mort,
Que me vaudrais le paradis....
Prends ma vie pour la leur,
Sauve les , sois seigneur...
Et si tu m’en trouves digne,
Revêt moi de ton armure....
Donne moi un cheval de guerre
Je ceindrais mon front de louanges,
Je plongerais dans les enfers....
J’y combattrais ce maître des lumières.
Je serais pour lui une couronne d’épines,
Un tourment éternel....
Ses mensonges deviendront ses chaînes,
J’en crucifierais la haine...
Pour mes enfants, Geoffrey, Camille, Gabriel, solene...
Je vous aime ....papa...
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La poésie est un art nécessaire à l’âme....
