Le verbe avoir lié au paraître
a pris le pas sur le verbe être
et l’être s’efface petit à petit
petits dans un corps d’adulte
Ils s’éparpillent dans le tumulte
De peur de tomber dans l’oubli.

Comme une fleur artificielle
N’ayant jamais la couleur de celle
Qui s’épanouit au tendre temps
Printemps perdu dans les méandres
De cette société qui engendre
Êtres fanés au premier printemps

L’avenir se profile bien rude
A cette inconsciente attitude
Quand le miroir va raisonner
La raison ennemie sera sévère
A cette beauté éphémère
Disparaissant dans l’oubli

Rattraper par ce qu’ils ont fuit.

( texte inspiré par la jeunesse d’aujourd’hui)

Bonjour Padepanik,

Une poésie fort émouvante sur la jeunesse actuelle !



Belle journée !
Amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

J'ai beaucoup aimé ton poème !
Quelle belle réflexion poétique, c'est superbe et si profond !

une jeunesse qui s'oriente par elle même et elle s'égare dans les pièges de l'époque

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/
https://www.edilivre.com/le-spleen-de-la-logique-de-l-absurde-2c490d0b23.html/

Bonsoir padepanik

Paraître, une attitude très prisée des jeunes, tellement superficiel... Vous le dites avec beaucoup de justesse.

Amicalement Franie

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Une joli réflexion

Merci à vous,
oui cette jeunesse dans ce paraître me fait mal pour eux ont peut y entrevoir un avenir douloureux le jour de leurs constat risque d’être rude.
Et nous face cette impuissance dans cette envie de leurs criés le danger qui les attend.

Par être...oui
Il y a méandres
De pensées
En poussières
En vos dire et de hors
Oui

C'est si rude
Et sève air

Pour nostre à venir ...

Merci

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"leur crier" serait mieux dans le com