Oh jardin d'Eole...
Les ombres tapissent les murs et les murailles de l'antre
Laissant ici et là des traces noircies à peine visible
A travers la fenêtre se glisse parjure dans l'entraille de ces ventres
Et dans la glace ne reste qu'une nuit dont les veines se criblent
De drôles d'habitants occupent dans l'obscur chacun des recoins
Offrant un spectacle de tragédie humaine pour ceux qui peuvent voir
Le liquide devient dur transformant le début en une éternelle fin
C'est une cour des miracles aux mirages qui paraissent si illusoires...
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