Il y a ceux qui nous soulagent
Que l’on lâche au vent du large
Ceux en échappement libre
Qui sont presque inaudibles
Il y a les petits pets sonores
Qui peuvent être inodores
Mais il y a aussi les discrets
Qui peuvent sentir mauvais
Les vents dus aux féculents
Et qui donnent les flatulences
Voici la vesse incongrue
Celle que l’on attendait plus
Ceux émis par éructation
Dus à la fermentation
Peuvent provoquer l’occlusion
En cas de surproduction
Il y a ceux dont on ricane
Avec Pujol le pétomane
Ou encore monsieur Méthane
Qui lui : produisait des flammes
Il y a aussi celui qui veut péter plus haut que son cul
Ou pour Brassens Mourir plus haut que son cul
Que renaisse le temps des morts bouffis d’orgueil
L’époque des m’as-tu-vu-dans-mon-joli-cercueil
Où, quitte à tout dépenser jusqu’au dernier écu
Les gens avaient à cœur de mourir plus haut que leur cul. —
(Georges Brassens, Les funérailles d'antan)
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On nous dit que le port du masque et la distanciation sociale empêchent le virus de se propager lorsque de petites particules liquides sont expulsées par la bouche ou par le nez mais qu’en est-il des pets ?? C'est une voie de contamination insolite qu'on n'avait pas imaginé. Alors que des chercheurs avaient déjà évoqué la possible présence du virus dans les matières fécales des personnes ayant été contaminées, des ministres britanniques redoutent désormais que les pets puissent être un vecteur de contagion de la Covid-19. Les ministres craignent en effet que le virus puisse être propagé par des personnes émettant des flatulences dans des espaces confinés tels que les toilettes.
L'un d'entre eux aurait confié en privé au Telegraph avoir lu des " informations d'apparence crédible à ce sujet" dans d'autres pays, notamment en Australie. La source interrogée a confié qu'il y avait eu des preuves d'un "lien en rapport à la génomique entre deux individus ayant utilisé une cabine de toilettes en Australie".
Les pets seraient-ils des vecteurs de la Covid ?
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