Mais oui je sais...

Mais oui je sais, tes habitudes,
Que tu répètes en vagues brume
Et que s'enfuient tes certitudes,
Au coin des lèvres un peu d'écume.

Mais oui je sais, combien tu luttes,
Comme tes nuits sont ruisselantes
Quand tu t'eveilles en un tumulte,
De par ton corps aux voies tremblantes.

Mais oui je sais, bien que tu m'aimes,
Même le vent me le susurre.
J'entends tes mots dans mes poèmes,
Ton souffle doux me les murmures.

Mais oui je sais, oh mon amour,
Comme ce temps ne mène à rien
Et que ce loin triste parcours,
Viendra nous faire un grand chagrin.

Thierry

Il est bon de savoir que l'on est aimé une chute triste qui mène au chagrin j'espère que ce n'est que temporaire merci pour l'écrit belle journée amitiés

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Bonjour gentilprince, très beau et fort touchant récit poétique

Amicalement

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La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout

00063312-1

une confidence touchante

Oui
La dernière strophe est bien plus triste
En référence
Aux trois années que durent
L'euphorie amoureuse
Qui masque
Les imperfections de l'autre

Mercis

Bonsoir Thierry,

Un bel écrit fort émouvant sous ta plume !



Belle soirée !
Amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)