Merci Marie, Merci François, merci Antoine,
et pour toi, Antoine, ce poème :
Tu sais Tony, ça va sans dire
Je parle tant que je respire
Si l'air manque, si je me tais
De mots je n'en manque jamais
Et mon travail c'est d'en écrire
Il se peut qu'un rien, seul, m'inspire
Mais te défendre de le lire
En aucun cas ne le ferais
ça va sans dire
Pour éviter que mon délire
Provoque par trop ton ire
Corne-Cassée je l'inventai
J'en ai têté son petit lait
Quand cette vache t'a fait rire
ça va sans dire
Bruno
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J'aime la poésie qui me parle et qui chante
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