Je ne te permettrai pas de sceller ton poinçon sur ma peau
La cire de ta signature risque de me souder les pores
Aucun dicton à dire devant la franchise de mon cœur de délire
Est-ce la cause de son innocence ou de la femme qui a refusé ta semence ???
Tu as giflé le doux doudou qui caressait tes bobos
Tu as brisé le verre qui te couvrait la nuit comme une sphère
Tu as joué avec les mots comme en joue les pros
Je t’ai tout divulguer même la cachette de mon plus petit poireau
Tu as décidé d’égorger mon mouton en cachette avant sa fête
Tu voulais quoi au faite ??? Faire de mon amour la roulette de tes pirouettes
Aimer c’est une plante qui enjolive la terre seine où le sacrifice est le conjoint de la reine
J’ai cru me réveiller en vous sir de mon palais
Tu m’avais irrité, éjecter, écraser sous tes nobles souliers comme une fourmiller
Jouer, je ne sais même pas d’où en acheter même pas celui du tiercé
Tu avais la bonté des dieux comment osez vous tuez l’enfant te tes cieux ???
Mon ciel est gris non Ă cause des nuages mais de ces taches de couleurs noirs
Des taches venant de loin pour tacher un pauvre cœur goudronné de taches
Tu nageais dans un ver Majesté, mais il était stérilisé, pure, c’est de l’eau douce qui provenait d’une source astiquée par les anges du bon dieu
Tu es bien pardonner mais le future de mes poétises ne sera jamais une suite à mon passé
J’aime les tréteaux, la projection, m’habiller en fée pour donner de l’espoir à ceux qui me caresse les ailerons
Mais je ne sais pas faire la travestie et je ne sais non plus remonter des scénarios, me prendre pour une héroïne en abusant d’âme orpheline
Je suis loin de tout ça j’étais ta boite à musique
Je suis joueuse !! oui, mais je joue de la musique, des notes venant d’un solfège poétique
Danseuse !! Oui, mais je dansais sur les rives des coutumes de nos rites
Je suis chanteuse Ă travers la voix du bonheur que chantait ma panique
Je suis ta boite Ă musique
Mon bois venait de source sacrée l’arbre aux branches lyrique
Un arbre au feuilles de sois au flair de ton parfum
Les mains qui m’ont fabriqué ont l’ADN d’un ange aux larmes cristallin
Cette boite, il est temps de la fermer avec la serrure du destin et de la jeter du haut de ton loggia
C’est là que s’arrête sa fonction une fois qu’elle sera éparpillée en l’air
Mais rien n’est foutu en l’air, la poupée de l’intérieur tombe dans les bras d’une nouvelle air
Je vous aimes mon seigneur, loin de vous je bois de l’eau coloquinte mais non morphique, amer mais non alcoolique tout comme mon amour pour vous qui était de la passion et non de l’obsession
Sissi
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-Combien d’êtres humains ignorent qu’ils n’ont d’humain que le nom ?
Henry Tena Gil