Bonjour Hubix
_Je vois que pour vous lire, il vaut mieux avoir un dictionnaire à portée de main.
Ce qui ne me gêne nullement car j'y ai souvent recours , si nécessaire .
_Je me suis attardée sur certains mots de cet écrit comme: l'eudémonisme .( bonheur démoniaque...)........
"Ornementation superficielle.."
Votre poème est une approche tout à fait personnelle de la poésie où des assertions se font , aussi, questionnements .
Cependant :
." Sans trahir la pensée, d'une veine insidieuse
Saignera la muse, d'une encre rubiconde
Sur la plage enivrée d'une peine spécieuse
Gardant, en elle, le mystère de l'onde..."
_Cette strophe résume assez bien l'idée générale du poème.
_C'est mon ressenti!
_A chacun le sien comme à la lecture de tel ou tel écrit.
_Je retiens, aussi, de votre plume cette sentence qui m'agrée:
"La langue française a une histoire, un trésor caché au fond de la mémoire des siècles, qu'il ne faudrait jamais oublier..."
Merci pour ce beau et singuluier poème qui mène à la réflexion .
Amicalement
Nat
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De Claude Miseur
"Qu’est-ce que la poésie ? A-t-elle une fonction utile ou indispensable qui ne la ferait pas rester à l’art pour l’art ?
Dès cette remarque, chacun peut deviner dans quel embarras nous serions pour y trouver des accords unanimes.
Ce n’est pas forcément pour le regretter, loin s’en faut, mais ma contribution sera induite par mes réflexions sur la poésie.
A mon avis, il y a quatre choses à distinguer.
Il y a la poésie qui est essentiellement un état d’esprit qui influe sur une manière de vivre, et d’être.
Il y a la substance de la poésie qui est pour moi dans une sorte de cordon ombilical avec la vie, le monde qui nous entoure,
les traces éparses de son histoire, et des aspirations ancestrales des êtres humains.
Il y a l’acte poétique qui est souvent solitaire, silencieux et n’a pas nécessairement besoin de langage et d’être lu, décodé, compris ou jugé.
Il y a enfin l’acte de reliance poétique plus ou moins déclarée et volontariste qui peut avoir plusieurs langages,
de celui du corps à ceux utilisant la voix ou l’écriture.....".
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De Paracelse
" Tout est signe
correspondance
mouvement
échange entre le ciel intérieur
et le ciel extérieur
L'or est toujours à venir
Dans cette lumière, les choses invisibles deviennent visibles
L'invisible est dans le visible
Mûrir c'est s'offrir
à l'infinité des métamorphoses "
Paracelse
de son vrai nom, Theophrast Bombast von Hohenheim : (1493-1541)
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Les haillons de l’amour ne se reprisent pas .
Nataraja.
