Quand la noirceur du temps,
Fera suite au soleil,
Et que confinement,
Sera mis en sommeil,
Bonheur il y aura,
De retrouver les siens,
Parler sans embarras,
Retrouver ses moyens.
Et sans attestation,
Circuler comme avant,
Sans faire de station,
Devant les commerçants.
Réunir ses amis,
Trinquer à l’avenir,
Sans risquer l’infamie,
D’une amende à venir.
Le sourire affiché,
Au visage des Gens,
Ne sera plus figé,
Tel, comme au paravant.
Les rires et les chants,
Reprendront le dessus,
Dans le soleil couchant,
La liberté reçue.
La liberté chérie,
Que nous payons très cher,
Enfermés aujourd’hui,
Blessés en notre chair.
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