Oui, on était libres de bouger, de parler, de se déplacer, de faire plein de choses.
Mais nous étions prisonniers sans le savoir de nombreuses choses que la crise à révélé: dépendance économique liée à la mondialisation pour de nombreuses choses critiques (médicaments, composants, produits alimentaires etc....), dépendance trop grande aux grandes centrales d'achats qui ravagent nombre de producteurs et d'entreprise en les étranglant sur les prix. Absence criante de circuits courts et de proximité qui assurent une meilleure rémunération de ceux qui produisent, état de délabrement du système de santé. Redécouverte des bienfaits du fait chez soi qui permet d'échapper un peu à la malbouffe. La crise a ouvert de nombreuses portes. A nous, quand nous pourrons profiter de la liberté, de ne pas fermer ces porte et de faire fructifier ces prises de conscience pour améliorer ce qui ne va pas et préparer un meilleur avenir pour nos enfants et petits enfants.
J'ai beaucoup aimé ton texte.
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Science sans conscience n'est que ruine de l'âme (Rabelais)