Re: Je ne puis me résoudre...
Enfin! Je ne savais sur lequel m'attarder
vos poèmes s'en vont , me passent sous le nez
Me voilà cher ami j'avais perdu le nord
j'étais au loin partie pour soigner mon vieux corps
vous voulez donc un phare pour mieux vous éclairer
je vous en donne deux, cela vous convient-il
je véhicule ainsi notre amitié sincère
A ronger votre frein vous mettez en péril
notre transport commun qui est fait pour me plaire
Mais
mais quelle déception, le poème m'échappe
il est donc pour celui qui avec des mots fous
vous envoie des sonnets qui jamais ne dérapent
ainsi que des rondeaux si parfaits je l'avoue
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Quand le poème a des beautés, quelques taches ne me choquent pas