Eh oui, les petits potins sont futés! Tu as bien cerné leur manège, dans ton poème ... Ils sont à fuir comme
la peste car la médisance est souvent proche...
Et pourtant, un jour ou l'autre, nous avons cédé à leur invitation et y céderons sans doute encore!
Hélas! L'Homme et le Femme sont loin d'être parfaits!
Bravo pour ce poème et son illustration bien choisie...
Capucine