MALARIOÂ !
Le Rio de Janeiro, ici c’est Paris Seine
Pour le Corcovado, c’est tours de Notre-Dame
Et Copacabana, ce n’est que Paris-plage.
Comprends-tu mon Ami, pourquoi ce vague à l’âme ?
Quand je vois ce ciel gris, tous ces mecs pas bronzés
Ces nanas seins de lait, étalées sur le sable.
Où sont passés le souffle des vagues océanes
L’insolent bleu de l’azur, la brise parfumée
Les rires et les chants, la grand’messe hédoniste
Les fleurs, celles du mâle, la musique rythmée.
Ici, pas de naïades, la Seine a ses égouts
Pas de tropicana, tout juste du coca !
Là mes yeux sont humides, à moi Cariocas !
Je rêve voiles blanches, et repartir là -bas
Ah, Paris, Waterloo, bateaux-mouches sur l’eau…
Parceval