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     souvenir des antilles (5 eme partie)
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Expéditeur Conversation
louveblanche
Envoyé le :  28/4/2007 21:16
Plume de platine
Inscrit le: 25/4/2007
De:
Envois: 3975
souvenir des antilles (5 eme partie)
Le 5 Mai 2001
Il est 6 heures, Bruno se lève pour préparer le petit déjeuner.
Pendant ce temps, je choisis ma tenue de la journée.
Ensuite, je quitte la cabine pour rejoindre l’équipage qui est en train de prendre son petit déjeuner sur le carré extérieur.
Après le petit déjeuner, je me baigne dans l’eau, mais je la trouve un peu fraîche.
A 8 h 00, nous mettons le cap sur le port ELISABETH de BEQUIA afin d’effectuer la clairance. A l’arrivée au port, un bout se coince sous le catamaran lors de l’amarrage. Bruno se porte volontaire pour plonger et le détacher.
J’ai un peu peur, mais je ne lui dit rien.
Le ciel est très bleu, les oiseaux chantent, les palmiers et les cocotiers sont au rendez-vous et l’eau est à 27°C, pas de doute nous sommes sous les tropiques.
Ca y est Bruno remonte, heureusement, il n’est pas blessé.
L’incident clos, nous nous rapprochons un peu du port. Nous mouillons puis nous formons deux groupes pour aller sur terre tant qu’Alain et Pascal descendent l’annexe.
Bruno et moi faisons partis de la deuxième équipe. Je suis chargée comme un boulet, mais je pense pouvoir prendre une douche d’eau douce sur la plage.
Arrivés à terre, Bruno accompagne Pascal pour faire la clairance à la douane.
Je reste à l’extérieur avec le groupe, quand soudain, j’aperçois l’office du tourisme, je m’y rends pour essayer de récupérer un bouquin sur BEQUIA.
A la sortie, j’étais tellement absorbée par mon bouquin, que me suis prise le pied dans une bouche d’égout non rebouchée. Vous pouvez rire mais cela fait mal.
Résultat, j’ai une égratignure sur le coude (ce sera mon souvenir de BEQUIA) et des vêtements et chaussures à laver. Mais, plus de peur que de mal. Alain m’a aidé à me relever et nous avons été nettoyer mes vêtements et mes chaussures dans la mer. Avec le soleil qu’il fait ce sera vite sec.
Une fois la clairance terminée, nous nous baladons. Les BEQUIAIS, nous ont surpris par leurs coutumes et leur look rasta. En effet, ils nous proposent de goûter des fruits, les mettent dans notre main, disent qu’ils nous les offrent puis réclament de l’argent. Alain et Marie Claude ont acheté des pommes.
L’aménagement de l’église m’a beaucoup surprise. Bruno a négocié deux tee-shirt et cinq cartes postales pour 28 dollars US.
Après quelques séances photos, nous sommes retournés sur le bateau par équipe.
Pascal après avoir débarqué tout le monde, retourne à la douane car il lui manque un papier.

A partir de ce moment tout se complique.
Alain et André doivent retourner chercher Pascal, mais en tirant sur la corde du moteur de l’annexe, ils la casse.
Après la réparation, il y a une panne d’essence.
Périple terminé, nous remontons l’annexe et nous préparons à partir.
Lorsque nous nous apercevons qu’un casier est pris dans l’hélice tribord, Bruno plonge pour la libérer.
Une fois l’hélice tribord libérée, Bruno va vérifier l’élise bâbord.
Il remonte à la surface et prévient Pascal que l’hélice côté bâbord n’est plus là.
Surpris, Pascal lui demande de replonger et de confirmer. Il confirme.
A peine Bruno confirme à Pascal l’absence de l’hélice, qu’un plongeur local arrive sur les lieux et se propose de plonger pour récupérer l’élise.
Nous refusons car il faut plonger à plus de dix mètres de fond cela peut être dangereux et il demande 100 dollars US pour nous aider, cela fait cher.
De nombreux plongeurs sont venus nous proposer leur aide, mais il faut d’abord appelé le loueur. Jacqueline pense par expérience que ce sont les BEQUAIS qui nous l’ont démonté pour se faire de l’argent, mais nous n’avons pas de preuves.
Quoiqu’il en soit, nous sommes bloqués à BEQUIA pour la journée.
Bruno en profite pour faire son Ă©chelle.
Quand il a terminé l’échelle, il va aider Marie - Claude à ranger le carré.
Pendant ce temps, Pierrette prépare les flans.
Jacqueline fait une sieste et moi j’en profite pour me laver.
André, Pascal et Alain font l’opération “ CHADEN ”, elle consiste à déposer l’encre à l’aide de l’annexe. Nathalie et Bruno les aident dans la manœuvre.
Pascal appel le loueur et lui explique le problème que l’on a avec l’hélice, le loueur lui dit qu’il en envoie une par avion et qu’elle sera remplacée lundi à UNION.
Après tous ces périples, une baignade est bien méritée.
En sortant de l’eau, André se cogne la tête sur l’entrée de Rouf, un gant de toilette est nécessaire pour le soulager. Puis, il retourne se baigner pour calmer la douleur.
Il a la tĂŞte dure notre second, mais nous envisageons de lui acheter un casque Ă  la prochaine Ă©tape.
Au repas, nous mangeons en entrée une salade melon pastèque préparée par PIRRETTE et en plat du boudin créole avec des carottes et des cristophines préparé par JACQUELINE.
Après le repas, BERNARD, PIERRETTE , NATHALIE et moi sommes descendus à terre avec l’annexe conduite par Pascal, l’histoire de digérer un peu avant de nous coucher.


A terre, nous sommes allés nous promener sur la plage, du côté opposé à celui que nous avions fait le matin. C’était le jour et la nuit. C’est la cas de la dire. Nous avons vu des restaurants aussi peuplés les uns que les autres d’européens. Les béquais sont bien habillés et il y a des bateaux de luxe un peu partout.
En longeant la plage, nous avons vus un crabe qui dansait, il m’a fait penser à l’un des crabes que l’on voit dans la publicité FIAT.
Après notre ballade, nous avons envoyé des signaux lumineux au catamaran et Pascal est venu nous rechercher avec l’annexe.
Quand nous sommes remontés à bord du bateau, nous nous faisons mettre en boîte par le reste de l’équipage.
En effet, les collègues pensent que nous nous sommes esquivés faire notre promenade pour ne pas faire la vaisselle. Il faut dire qu’il y en avait un peu plus de d’habitude. Aussi, nous leur promettons de la faire le lendemain.
Après cette petite discussion, je vais rejoindre Bruno à l’avant du bateau, puis ensemble nous allons nous coucher.
anonyme
Envoyé le :  30/4/2007 20:23
Re: souvenir des antilles (5 eme partie)
je vais lire le six
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