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     Journal intime, 26 et 27 juin 2054
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Expéditeur Conversation
gepeto2
Envoyé le :  27/4/2007 21:23
Plume de platine
Inscrit le: 18/4/2007
De: Quelque part avec mes ami(e)s
Envois: 7197
Journal intime, 26 et 27 juin 2054
JOURNEE ORDINAIRE

« Journal intime, 26 et 27 Juin 2054 ».

« Ce matin je me suis réveillé à six heures cinquante sept grâce à mon vibratophone inséré dans l’oreille droite et relié à mon drive PC. J’ai acquis cet appareil il y a un mois environ, il me permet de me réveiller en musique et de me tenir informé de l’actualité mondiale. Ca fait déjà une semaine que je l’ai connecté sur les varia-sons d’un site électro-Tibétain, ce rythme me convient décidément de mieux en mieux.
Je me suis levé et après avoir bu mon cafrarabica décalight quotidien, j’ai voulu me rendre compte de l’évolution météorologique. Ce café avait un sale goût d’ailleurs, le service Tower-in devrait faire réviser l’appareil de maintenance défectueux, il faudrait au moins une intervention humaine dans le cycle sinon on ne pourra bientôt plus rien avaler.
Je me suis donc posté devant la baie teintée de mon appartement au deux cent cinquante deuxième étage d’où l’on ne voit plus le sol depuis quelques années déjà. Ce gigantesque immeuble est bâti sur les restes d’un ancien monument historique construit pendant l’ère industrielle et disparu lors des bombardements de deux mille quinze, la tour Eiffel. J’étais persuadé que le ciel n’apparaîtrait comme hier qu’entre dix heures trente et onze heures et que l‘atmosphère serait encore imprégnée de cette foutue humidité. Gagné! Les nuages noirs se sont dissipés, chargés un peu plus qu’à l’habitude de particules acides.
Il faudra que je fasse changer dans les semaines qui viennent les joints du contour extérieur des fenêtres, les protections se désagrègent et les fuites commencent à se faire sentir à l‘intérieur.
D’ailleurs il devient urgent que le centro-médical renouvelle mon traitement à base de nasalisateurs. Depuis que je prends ces inhalations je me sens beaucoup mieux, mes nausées diminuent. Il me reste juste ces sacrés bourdonnements d’oreille , héritage de mes vingt ans et de ma passion pour la musique quand les derniers groupes pouvaient encore jouer et répéter ensemble. La perte d’audition d’une partie de ma génération et la censure quant au regroupement de population sans autorisation m’ont privées de ma plus belle passion mais ce n’est rien comparé à l’absence d’êtres chers et je m’en contente malgré tout.
Heureusement que j’ai préparé mon kit-equipment hier soir, il est jetable et garantit une protection optimum pendant huit jours. Malheureusement je n’ai pas les moyens d’en acheter hebdomadairement, c’est pourquoi j’essaie de l’entretenir pour l’utiliser au moins trois semaines de plus. Le plus contraignant c’est de nettoyer le masque qui s’encrasse et garde une odeur fétide, cette pourriture acide m’exaspère. Les joints des lunettes ne font plus aucun effet, la sueur m’irrite les yeux chaque jour un peu plus, que faire? Je les ai stockés dans une malle de deux cents litres aseptisée qui m’a été donnée par mes parents juste avant leur départ.
J’aimerais beaucoup les revoir maintenant, nos contacts n’ont pas toujours été faciles, ils sont la seule famille qu’il me reste. Un gêne défectueux leur a interdit de me donner un frère ou une sœur à leur grand désespoir. Ils ont connu la troisième guerre mondiale, celle qui a failli tous nous emporter. J’espère qu’avec la disparition de ce satané pétrole les mentalités vont changer, la terre nous a donné ce qu’elle pouvait, aujourd’hui c’est à nous de prendre le relais, bien que certains pensent qu’il est déjà trop tard.
Mes parents sont depuis maintenant deux ans dans un centre géronto-létal où l’on accompagne les gens dans la mort sans les souffrances d’antan.
J’aurais bien aimé les garder avec moi mais le centre socio-législatif impose aux personnes atteignant l’âge de quatre vingt huit ans de rejoindre ces endroits seules ou accompagnées de leurs époux ou épouses, unique faveur accordée. L’espérance de vie moyenne a atteint l’âge de cent cinq ans pour les femmes et cent ans pour les hommes mais la tendance s’inverse inexorablement ces dernières années.
Ca fait maintenant deux ans que je ne les ai pas vus, j’attends toujours l’autorisation du centro-validation qui délivrent les visas malgré mes demandes réitérées.
J’aimerais les embrasser, leur parler de ma vie et de mon nouvel emploi semi-hebdomadaire à mi-temps étalé sur trois jours et demi, ils seraient fiers de moi. Je travaille le matin plus l’après-midi de onze heures trente à quatorze heures et de seize heures à dix huit heures trente les jours pairs. Dire qu’au seuil des années deux mille vingt on travaillait encore vingt cinq heures par semaine, ça laissait vraiment peu de temps pour tisser des liens avec sa machine. Il faut dire que le monde était en pleine reconstruction et qu’on avait besoin de main d’œuvre à cette époque.
L’explosion démographique des continents Africain et Asiatique après la guerre, malgré les quelques deux cents millions de morts, a imposé le système de sortie jours pairs-impairs et l’obligation de porter des protections corporelles. L’exode massif de ces populations vers l’ancienne Europe a provoqué des tas de bouleversements dans la vie quotidienne et un métissage quasi-généralisé dont je suis moi-même issu, il n‘existe pratiquement plus d’Européens de souche.
Au fait, hier j’ai croisé mon voisin de palier dans le couloir qui mène au tubolator en partant travailler. Il était sorti en dehors de ses heures prescrites, je l’ai invectivé pas mais trop méchamment vu son âge et l’existence douloureuse qu’il a vécue. Heureusement que je portais mon masque, ç’aurait pu être dangereux pour nous deux. Je lui ai signifié qu’il avait sept minutes d’avance sur l’horaire de sortie, il m’a rétorqué de bonne foi que c’était l’heure où il avait l’habitude de sortir son chien il y a quelques années déjà. Il avait l’air décontenancé par cet univers là, la race canine avait été éradiquée de la planète suite à des maladies souvent mortelles transmises à l’homme et dont lui-même avait été victime. La canilexie attaquait le système nerveux ainsi que les défenses immunitaires de l’être humain, elle fit cinquante millions de morts environ.
Moi je suis marqué sur une bonne partie du torse et des membres de zonas apparus année après année suite à la disparition quasi-totale de la couche d’ozone, phénomène prévisible mais pris trop tard en compte pour espérer un effet réversible. L’inversion des pôles magnétiques n’a fait qu’aggraver une situation déjà catastrophique, les cyclones , ouragans, tornades ont laissé des zones terrestres dévastées et inhabitées encore aujourd’hui.
Nos deux maladies sont incompatibles et pourraient s’aggraver si nous avions un contact trop prolongé. Il regagna donc son studio de neuf mètres carré l’air résigné en me faisant un signe de la main. J’aurais bien aimé en savoir plus sur son passé, qu’il me raconte comment on a pu en arriver à cette décadence programmée sans qu’il n’y ait eu une plus grande prise de conscience des autorités de l’époque.
Je suis rentré dans le tubolator et après une descente infernale de moins de quarante secondes, je suis descendu avec de fortes nausées, j’avais oublié de prendre le cachet utilisé dans la deuxième partie du vingtième siècle pour les premiers vols spatiaux habités, efficace d’ailleurs.
J’ai été surpris par cette foule inhabituelle aux abords des tours que j’ai aperçue à travers les quatre sas de protection qui nous séparent de l’extérieur. J’ai eu du mal à sortir, mon agoraphobie me faisant hésiter devant ce spectacle de gens mécontents qui hurlaient et vitupéraient dans un langage que je reconnais par certains moments car il est basé sur le français traditionnel tel qu’on le parlait et la phonétique développée à partir des appareils vocaux dont le précurseur fut le téléphone portable. De plus en plus de gens habitant dans les sous-sols de la ville ne portent plus de protections par une sorte de fatalisme et surtout par un manque d’approvisionnement des services d’hygiène. Ils ont de plus en plus de mal à accéder à certains secteurs de la ville souterraine, les embuscades se multiplient et les autorités minimisent sans arrêt le phénomène. Les derniers employés travaillant pour l’état sont systématiquement pris pour cible étant considérés comme seuls privilégiés d’un système courant à sa perte. Les habitants souterrains sont surnommés « Les rats » car ils subsistent des déchets de cette société. Ils sont agressifs vis à vis de tout ce qui vient de la surface et se partagent des territoires telles des tribus.
Je me demande comment tout ça va se terminer.
J’ai quand même réussi à prendre mon courage à deux mains pour sortir et enfourcher mon street-bike branché dans le local de recharge des batteries. Je me suis faufilé a travers cette foule dense, j’ai du mal à parcourir les dix kilomètres qui me séparent de la cyber-bank où je suis employé sans me faire agripper par un de ces mendiants qui longent les bords des rues. La semaine dernière une espèce de ces zombies certainement drogué a réussi à me faire tomber du street-bike et j’ai du me dégager à coups de pied pour m’échapper. Je l’ai laissé inconscient sur le bas-côté, c’était ça où en avoir dix autres sur le dos.
Je suis enfin arrivé jusqu’au park-bike relay situé derrière le bunker de l’entreprise. Mon employeur s’était enrichi au début du siècle en vendant des parcelles de lune à des milliardaires crédules qui pensaient que le monde terrestre n’aurait pas d’avenir. Il devait y être bâti un complexe d’habitations et des parcs de loisirs pour gens fortunés. Le projet n’a jamais abouti suite à la catastrophe lunaire qui fut percutée par une énorme météorite. Nous en subissons aujourd’hui encore les conséquences, mais la terre a été épargnée dieu soit loué ( C’est bizarre que j’emploie cette expression, elle me vient de mes parents, qui croit en dieu de nos jours? ).
Je suis rentré dans l’enceinte après avoir décliné mon identité grâce à mes empreintes digitales et à mon iris non altéré. J’ai du arrêter la prise de drogue pour trouver un emploi car l’appareil autorisant l’accès détecte la déformation de la pupille et c’est un motif de licenciement immédiat. Il est très facile de se procurer ces pilules chimiques, les dealers ont pignon sur rue, ça devient le seul moyen d’évasion pour ceux qui ne sont pas reliés au genex mondial.
C’est un genre de communauté restreinte, moins de dix pour cent de la population qui a accès à un réseau ayant pour but de réguler l’ensemble des activités de ses membres. Entre autres les horaires de sortie, les loisirs, la médication, tout ce qui peut faciliter la vie quotidienne. La majorité des laissés pour compte doit se débrouiller par le troc et le piratage informatique pour survivre de nos jours. Les milices gouvernementales sont omniprésentes et de plus en plus nombreuses dans les rues, les libertés diminuent comme peau de chagrin. Ils envisagent même d’installer des caméras vidéo dans chaque domicile et d’attacher au poignet des personnes ayant eu maille à partir avec la justice même pour des délits bénins des bracelets repérant chacun de leurs déplacements, après la régulation des naissances ç’en est trop.
J’ai donc pris place dans le compartiment cent cinquante quatre du bunker qui m’a été attribué cette semaine là. Je préfère le cinquante six hermétique et climatisé lui aussi mais situé près d’une fenêtre, on aperçoit de moins en moins le jour à notre époque. La dernière fois que j’ai vu un arbre cela fait plus d’un an, c’était pour la sortie annuelle offerte par l’entreprise en aéro-train. Nous étions allés aux portes de la ville dans une banlieue appelée Chartres, la ville s’étend d’années en années, on estime à plus de trente cinq millions les habitants de l’agglomération. Très peu de gens s’aventurent au-delà des zones urbaines, c’est un espace de non-droit où l’on sait seulement que des bandes y survivent avec les espèces animales rescapées. La plupart des humains composant ces  troupeaux seraient des enfants « illégaux » qui ont été cachés à la naissance et emmenés en dehors des villes par leurs parents pour leur éviter la mort. Ils vivraient à l’état sauvage encadrés par les quelques premiers réfractaires à ce système. Ils consomment encore de la viande animale comme il y a quarante ans, ça paraît fou que cela existe encore après toutes les épidémies que nous avons subies, ils ont sûrement choisi leur mort ou n‘ont pas d‘autre choix.
Je préfère quand même l’ambiance asepto-climatisée de ce bâtiment, chaque pièce est munie d’un self-food et au moins ici toutes les pilules sont aromatisées. J’ai droit à quatre pilules par jour, deux matins et deux après-midi, le dosage a été mis au point par le calculateur diététique en fonction de ma corpulence et de mes besoins physiologiques. La boisson a un petit goût acidulé que j’apprécie, j’aimerais bien en disposer à mon domicile, c’est malheureusement impossible de la conserver à cause de l’insalubrité des lieux, tout breuvage doit être bouilli avant absorption. Toutes les tuyauteries déversent un liquide jaunâtre et rempli de microbes.
J’ai effectué les quelques transactions que l’on m’avait programmées pour la matinée, j’aimerais bien comprendre ce que signifient tous les codes que j’ai rentrés sur le clavier de cette machine. On nous a appris un langage indéchiffrable, on se demande pour qui et pourquoi on travaille, c’est frustrant. Tout ça est tellement abstrait, je sais bien que je ne suis pas le plus mal loti mais ça a quelque chose de vraiment inhumain.
En quittant le bunker j’ai encore croisé cette jolie brune qui occupe le compartiment cinquante huit, elle a des yeux magnifiques. J’hésite à l’aborder, je ne sais pas de quoi elle est atteinte, je serais déçu si elle aussi avait une maladie incompatible avec la mienne, alors j’ai passé mon chemin comme à l’accoutumée, avec espoir de la revoir.
Je suis ensuite rentré chez moi et je me suis reposé, le manque d’oxygène me fatigue énormément et me donne des migraines les jours de sortie. Je suis reparti travailler l’après-midi, les rues étaient désertes du fait de la puanteur ambiante et des patrouilles qui sillonnaient les rues de long en large à la recherche de contrebandiers.
J’ai passé la soirée sur mon simulateur sensoriel, le nouveau thème est un combat de boxe, sport disparu de nos jours car il occasionnerait trop de séquelles aux combattants, leurs plaies s’infecteraient et provoqueraient leur mort à coup sûr. Les sensations sur cette machine sont très fortes, on est sujet à des montées d’adrénaline incessantes, les capteurs disposés sur tout le corps rendent les sensations très réalistes sans la douleur des coups. L’utiliser plus de deux heures est épuisant, j‘ai donc préféré arrêter, cela risquerait de me donner des insomnies.
De toute façon j’ai droit ce soir à mon visa mensuel pour aller voir un clone-fight, j’irai seul mais ça me rend heureux rien que d’y penser. Les autorités ont décrété il y a deux mois que les clones n’avaient plus le statut humain, ces combats sont autorisés dorénavant. Ils étaient clandestins jusqu’à aujourd’hui et se déroulaient dans les deuxièmes sous-sols inhabités juste au dessous des logements sociaux. Le gouvernement a préféré les légaliser pour contrôler toute une partie de cette économie souterraine qui lui échappait jusqu’alors.
Un de mes cyber-amis y a assisté et m’a raconté que c’était fantastique, il connaît bien l’histoire, la seule chose équivalente qui ait existée avant ça c’étaient les combats de gladiateurs à l’époque des Romains. Le public décidait de la vie ou de la mort des participants qui y étaient contraints étant des esclaves, ça paraissait barbare, les combattants étaient armés et cela finissait dans un bain de sang. Le clone-fight est quand même plus « humain » , ça se pratique à mains nues et le but est de neutraliser l’adversaire en évitant de le tuer si possible. L’adversaire finit souvent inconscient mais il arrive qu’il meurt de ses blessures, le clone vainqueur encourt alors une suspension de compétition de six mois. Il me tarde vraiment ce soir!
Tiens, il y a une drôle d’odeur qui vient du couloir, on dirait du gaz… »

« 16 Décembre 3212, mission archéologique 56B »

Muni de mon éco-scaphandre je pénètre dans une habitation de type pré-plasmatique.
Je connecte mon cérébro-câble sur le disque dur de cette machine archaïque.
Ingestion et envoi des informations contenues effectué pour central 16.
Commentaire général.
-Cause de la disparition des habitants de cette ville: propagation de gaz mortel d’origine inconnue.
-Système régi par oligarchie.
-Un central régule les besoins matériels et temporels d’une partie de la population.
-Contrôle émotionnel au stade primaire.
-Joutes barbares.
-Premier stade du port de protections anti-acides.
-Possibilité de sorties atmosphériques, période ante-radiations.

MISSION ACCOMPLIE



louveblanche
Envoyé le :  28/4/2007 22:53
Plume de platine
Inscrit le: 25/4/2007
De:
Envois: 3975
Re: Journal intime, 26 et 27 juin 2054
vision futuriste qui est très bien imaginée avec beaucoup de sujets abordés. Quel brio bravo
carotte
Envoyé le :  3/5/2007 17:13
Plume de soie
Inscrit le: 22/1/2007
De: La Lune, l'Univers, les étoiles dans le ciel de l'infini où je te cherche
Envois: 129
Re: Journal intime, 26 et 27 juin 2054
j'aime ton histoire, meme si j'espère que le monde ne va pas en arriver la...


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Mon futur: Je l'espère
Mon présent: lié au passé
Mon passé: Ce que je suis maintenant.

Johanne
Envoyé le :  5/5/2007 17:34
Plume d'or
Inscrit le: 18/4/2006
De: Limoges
Envois: 1058
Re: Journal intime, 26 et 27 juin 2054
Hallucinant. J'espère que l'avenir sera meilleur que ce que tu nous predis! Mais en même temps, on y va tout droit, avec nos bêtises actuelles...
J'ai été bluffée surtout par tout le monde que tu construis, avec plein de termes technologiques, avec une véritable inventivité du futur...Génial.
Un grand bravo pour ce texte très travaillé!
Bises!


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La nostalgie colore les souvenirs avec des crayons de couleur...

anonyme
Envoyé le :  9/5/2007 11:35
Re: Journal intime, 26 et 27 juin 2054
vision futuriste bien imaginée, mais j'espère que l'on en arrivera pas là enfin nos descendants
gepeto2
Envoyé le :  14/11/2007 0:19
Plume de platine
Inscrit le: 18/4/2007
De: Quelque part avec mes ami(e)s
Envois: 7197
Re: Journal intime, 26 et 27 juin 2054
Je n'espère pas moi aussi, merci à vous.


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FORUM CITATIONS:
Je remercie Roky qui a créé cette vidéo où défilent les citations des gagnants mises en page.
http://img532.imageshack.us/my.php?image=nouveaumuvee001ti2.flv

anonyme
Envoyé le :  14/11/2007 11:23
Re: Journal intime, 26 et 27 juin 2054
Cher Jean-Luc , tu excelles vraiment dans tous les domaines
d écriture !
J ai beaucoup aimé ton récit de science-fiction qui me rappelle certains romans d Aldous Huxley , ainsi que des séries comme
L âge de cristal ou Star Trek .
Je ne me suis jamais essayée a écrire de la science fiction , il faudrait que je tente l expérience....
Merci pour le partage !

Sandrine
Honore
Envoyé le :  14/11/2007 16:01
Modérateur
Inscrit le: 16/10/2006
De: Perpignan
Envois: 39531
Re: Journal intime, 26 et 27 juin 2054
Je suis bleufé par ton imagination débordante qui m'a fait voyager dans un espace temporel très bien construit mais qui , je l'espère, restera du domaine de la fiction.
HONORE
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