Hello ladies & gentlemen (le savoir-vivre du P'tit Cholardais).
Koukou'céki ?
Pour signifier notre capacité à accepter l'autre, sans chercher à l'égorger sur un simple battement de cils, il faut dire :
B-O-N-J-O-U-R !
Même si l'on se moque que l'autre puisse ou non passer une bonne journée. On use simplement de ce terme pour le rassurer et lui faire comprendre qu'il a les mêmes droits de vivre que nous.
Pour seulement quelques secondes d'attention, ça vaut quand même le coup de rajouter deux caractères au total numérique du mot usuel de cinq lettres servant trop souvent de réponse. Afin d'avoir le nombre nécessaire pour former un autre terme plus convivial et vivre autrement que dans la crainte. Si l'on est vraiment affectif, on peut même aller jusqu'au petit bisou.
Mais attention à ne pas trop exagérer :
- Oh, bonjour Germaine. Viens vite, que je te fasse un gros bisou !
Tiens, je te présente mon mari... heu... Gaston ! Juste un p'tit bisou !
Non, non, mais non ! Pas la langue ! Gaston, laisse la dame tranquille. Tu vas abîmer son rouge à lèvres.
Allons, donne seulement la patte. Allez, la papatte.
Voilà , c'est bien. Maintenant, on s'en va.
Mais tu vas lâcher la dame, bon sang. C'est pas vrai ça !
Si ça continue, je ne te présenterai plus mes copines !
Il faut dire que pour les hommes, ce n'est pas facile de faire juste un bisou sur la joue. Mais ça, c'est une autre histoire que je viendrai vous raconter plus tard.
Voilà , voilà . Alors à plus...
... Peut-être.
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« La vie n'est supportable que si l'on y introduit non pas de l'utopie mais de la poésie (Edgar Morin) »
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