Les virus et les bacilles ne sont pas nés avec la société de consommation ni avec la pollution humaine dénoncée par les mouvements écologistes.
Il y a d'ailleurs des bactéries sur les météorites, paraît-il.
Au temps des cavernes, sous l'Ancien Régime, à tous les siècles et les millénaires, dans tous les pays du monde, l'humanité a connu pestes, épidémie, variole, tuberculose, choléra...
Les vaccins depuis le début sont l'arme dont usent les hommes pour se défendre.
La lutte est engagée pour devenir l'espèce dominante, cela s'appelle la sélection naturelle.
Les virus sont une espèce comme une autre qui nous attaque. Nous avons triomphé des animaux, nous avons plus de mal avec l'invisible péril des virus.
Nous oublions un peu vite que nous ne sommes qu'une espèce vivante comme les autres qui luttons pour notre survie.
Notre maîtrise technique, les avancées scientifiques, font que nous sommes tout surpris de nous trouver confrontés à un ennemi qui n'est pas humain et qui nous pose réellement problème.
Ce n'est que vain orgueil et aveuglement sur les réalités de l'existence.
L'homme maître du monde n'est qu'un mythe.
Un peu de modestie et davantage de solidarité entre humains ne seraient pas un luxe inutile.
Il faudrait se rappeler comme disait Valéry, que "nous autres civilisations sommes mortelles".
Le covid est une leçon de modestie pour l'humanité toute entière.
Voilà l'occasion de mettre en application le beau principe de Fraternité. Oui, nous sommes tous frères, nous humains, sur cette terre.
Le covid nous le rappelle également.
Petite piqure de rappel, si l'on peut dire.
Bonne soirée et joyeuses fêtes sous le masque.