J’ai regardé ce vent souffler – où étais-je ? il m’a observé tout droit, à travers mon visage, dans l’équerre des mots.
Les joues gonflées de sa face hideuse étaient au-delà des nuées, insolentes de fureur – elles étaient comme ces grands tourbillons qui se lamentent et qui tournoient sans fin aux angles des ruelles.
Quand il avait trop soufflé, il hurlait : c’est se plaindre, alors j’ai marché de front contre sa tristesse, et j’ai accroché des parapluies d’étoiles à ses nuages noirs sous ma plume tendue. Dans ses défense d’y croire, dans ses détours trop vains de verres en demi-lunes.
J’ai regardé ce vent souffler – où étais-je ? et puis soudain, puisque le verbe tu, ne peut retenir encore, toujours, la paroi d’équilibre,
il détourna la face, et mit ses yeux ailleurs, le cou marbré de verve sous ses muscles gonflés …