"Il est passé par ici, il repassera par là"
Chroniques du Covid19
Essai


"Il court, il court, le Covid...".

Vous connaissez tous la chanson du furet qui trottine "au bois Mesdames". Hé bien, le Covid, notre ennemi intime, s'en inspire.

Il est partout et file plus vite que l'éclair. Ce serait bien commode s'il était visible, mais malheureusement, on ne le voit pas. Trop petit, mon ami. Personnellement, j'aimerais bien tirer l'oreille de ce petit monstre, mais non, il ne faut pas rêver. C'est réservé aux microscopes électroniques, et encore.

C'est un petit animal sournois qui a adopté la tactique bien connue des cachotiers de tout poil pour parvenir à ses fins. Nous décimer, à son profit. Aveuglément, quitte à périr avec sa monture, peu importe, l'énergie de la vie est aveugle. La sélection naturelle fait le reste.

On ne le voit pas, donc. Lui non plus. Mais peu lui importe. Il grouille dans l'ombre. A nous de n'être pas bécasse.

Les virus sont invisibles ou quasi mais les dégâts qu'ils provoquent, eux, sont bien visibles. Un véritable acide sulfurique qui corrode et détruit nos tissus. Le général vainqueur.

La seule stratégie possible face à ce péril invisible : le masque, les gants, le gel, la distance.

Tout ce qui fait barrière à cette peste.

Avant un hypothétique vaccin, n'oubliez pas votre masque.

Les postillons tuent, à présent. Se répandre n'est plus seulement impoli, cela devient criminel.

Alors, un peu de patience, Mesdames et Messieurs, il faut vaincre la bête.


Thomas1

la bête pour voyager choisit ses montures

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/
https://www.edilivre.com/le-spleen-de-la-logique-de-l-absurde-2c490d0b23.html/

Merci ZAGHBENIFE.

Il repassera par là
Le furet du bois, mesdames
Devinez s'il est ici
le furet du bois joli.

Merci Thomas de nous redire son insaisissabilité
Si l'on ne fait mouche

Un texte vraiment d'actualité avec ce petit brin de véracité et d'humour
Très bien écrit comme toujours

Amitié

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Les mots d’amour sont comme des frissons qui effleurent les ruisseaux de l’âme