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C’est l’heure où le désert, sous les vapeurs du soirÉtalant son brasier torride et sans retraiteFume et crépite au loin comme un vaste encensoirLe soleil épuisé tremble énorme et s’arrêtePuis s’effondre envahi par les horizons plansOù les derniers rayons palpitent improbablesL’astre agonise au bord des larges cieux sanglantsLe jour intense coule en ors inépuisablesDes blessures de feu qui s’ouvrent à leurs flancsEt sans voir les troupeaux d’étoiles implacablesDont les yeux clignotants commencent à s’ouvrirDans un voile de brume aux reflets du couchantJe vois par-dessus l’or et la pourpre des sablesLe jour dans le soleil se regardant mourir.
----------------"Ce qui a le moins vieilli en moi c'est ma jeunesse"...Et il escaladait l'échelle appuyée à rien pour aller marier une girouette au vent
----------------https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/https://www.edilivre.com/le-spleen-de-la-logique-de-l-absurde-2c490d0b23.html/
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----------------La Poésie ça sert à faire du bien...ça dénoue le négatif...et ça devrait être remboursé par la sécurité sociale...
----------------La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout 00063312-1
----------------Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)