J'ai ouvert sur les façades de ton cœur,
Toutes les fenêtres à la lueur du bonheur,
Ainsi dès l'aube de cette vie bien entamée,
On a décidé de ne plus jamais les refermer,

Alors du côté du matin comme du soir,
Les fenêtres ouvertes aussi dans le noir,
On a rêvé de cette bouffée d'air frais,
Ce vent d'émois que l'on attend du pré,

Et de toutes ces vitres,

La vie pourra encore se taire dans la maison,
Nos fenêtres se tueront en quelques saisons,
Et devrons-nous maintenir au plus chaud,
Car la flamme devra survivre de ses maux,

Combien même la vie est rude et se ferme,
Mais les fenêtres garderont la porte ferme,
Au soleil et au ciel bleu, les volets bées,
Je garderais l'amour et la porte d'entrée,

Éperdu d'amour et de toi belle de femme,
Je garde ouvert les fenêtres de nos âmes,
Ainsi dès l'aube de cette vie bien entamée,
On a décidé de ne plus jamais les refermer,

Les fenêtres...

LeCrieur...

Bonjour, très beau récit poétique

Amicalement

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La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout

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Bel écrit merci du partage bonne soirée

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Très beau