Comme un regard qui vous désarme,
Un aveu vous laisse sans paroles,
C’est votre cœur tout entier qui s’envole
Et qui ouvre la porte de vos larmes.
C’est votre cœur tout entier qui s’envole
Comme une foule d’âmes en détresse
Alors la haine lentement vous oppresse
Vous faisant boire le poison à la fiole.
Alors la haine lentement vous oppresse
Fermant la porte sur l’oubli,
Cueillant vos remords aux pieds du lit,
Vous plongeant dans un brouillard d’ivresse.
Cueillant vos remords aux pieds du lit,
Un vent de colère emporte vos illusions
Entraînant dans son cours vos chères visions
Vous faisant glisser lentement vers la mélancolie.
Entraînant dans son cours vos chères visions
Empêchant votre bouche de crier « au secours »
Votre corps desséché reste sans battements d’amour,
Et votre corps tout entier baisse pavillon.
Votre corps desséché reste sans battements d’amour,
Ne restent que des miettes d’une vie sans vie,
Sur vos joues coulent des gouttelettes de pluie,
Effaçant l’espoir d’un nouveau jour.
Sur vos joues coulent des gouttelettes de pluie,
Il n’y a plus de perspective d’avenir,
Les belles images restent de lointains souvenirs.
Le temps, les pleurs les ont ensevelis.
M.P. 10/09/2017
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nos amis sont des anges silencieux qui nous remettent sur pieds lorsque nos ailes ne savent plus comment voler.