Pardon, Grand 'Père
Paul, de ta petite ferme, tu en as fait ton paradis.
Avec Louise, ce lieu fût votre petit monde, en Normandie.
Dans ton jardin, tes légumes ont grandit,
Quelques arbustes ont portés tes fruits.
Tes vaches ont meublées ta prairie.
Tes petits enfants, dont je fis partie,
Avec grand bonheur, y ont bien joué et bien rit.
Voilà qu'avec le temps, ton corps à vieillit
Dans ton cœur, hélas, la maladie a grandit.
L'escalier pour le gravir,
Tes forces un jour, n'ont plus suffit.
Alors un soir, une phrase que tu m'as dite,
-"ce soir, je crois que vais bien dormir "
Ces mots, je ne les avais pas compris.
Ces mots, Ã personne je ne les ai dit !
Le lendemain, par ta volonté, tout était fini.
Ton âme avait rejoint le Paradis !
Depuis, c'est mots me hantent jours et nuits !
**poètamateur
copyright n 00052404
ps:
il a mis fin a ses jours en absorbant tous les médocs qu'il a pu trouver dans la maison.
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La poésie réchauffe les cœurs et calme les esprits.
Poetamateur