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     J'aime la poésie...
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Expéditeur Conversation
encrenoire
Envoyé le :  13/4/2020 14:24
Plume de platine
Inscrit le: 11/6/2013
De: Nord
Envois: 2868
J'aime la poésie...
J'aime la poésie
Dont l’étymologie
Est création

J'aime l'arbre et ses fruits
L'univers infini
Sans partition

Tout va dans le jardin
Les mots portent l'humain
Ses émotions

Un sonnet, un quatrain
Ne sonnent pas très bien
Sans carnation

J'aime la poésie
Dont l’étymologie
Est création

J'aime l'arbre et ses fruits
L'univers infini
Sans partition

Le vers et la métrique
Sont simple arithmétique
Sans cœur ni âme

La strophe à coups de trique
Est triste et pathétique
Elle est sans flamme

J'aime la poésie
Dont l’étymologie
Est création

J'aime l'arbre et ses fruits
L'univers infini
Sans partition

La musique peut taire
L'absence de mystère
Dans le poème

La césure peut faire
Office de cautère
Sur les mots blêmes

J'aime la poésie
Dont l’étymologie
Est création

J'aime l'arbre et ses fruits
L'univers infini
Sans partition

Chacun peut la réduire
En étant triste sire
Rigidité

Chacun peut la produire
La créer, la construire
Ô fluidité

J'aime la poésie
Dont l’étymologie
Est création

J'aime l'arbre et ses fruits
L'univers infini
Sans partition
fleurette des bois
Envoyé le :  13/4/2020 14:30
Plume de platine
Inscrit le: 1/9/2011
De: KIEL Allemagne du nord
Envois: 4003
Re: J'aime la poésie...
Une belle énumération de ce qu'offre la poésie

mais je n'ai pas compris pourquoi ces répétitions
encrenoire
Envoyé le :  13/4/2020 14:41
Plume de platine
Inscrit le: 11/6/2013
De: Nord
Envois: 2868
Re: J'aime la poésie...
Parce que c'est l'important du poème selon ce que j'ai voulu écrire

merci de votre lecture

luzdelsol
Envoyé le :  13/4/2020 14:45
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 10/1/2011
De: sur ma planète "le soleil"
Envois: 27531
Re: J'aime la poésie...
Moi aussi j'aime ta poésie en mal de rébellion … avec ou sans partition ! (sourire)Merci du partage

Amitié
Bises de Luz


----------------
Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama

Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran

eolienne
Envoyé le :  13/4/2020 14:45
Webmaster
Inscrit le: 22/6/2005
De: Région Parisienne
Envois: 40401
Re: J'aime la poésie...
Sybilla
Envoyé le :  13/4/2020 18:07
Modératrice
Inscrit le: 27/5/2014
De:
Envois: 96263
En ligne
Re: J'aime la poésie...


Bonjour encrenoire,

Chacun(e) affectionne un mode d'écriture et que ce soit avec la prosodie ou non, ou encore la prose, tout peut être d'une très grande beauté et écrit avec son coeur et toute son âme !
Une belle poésie en partage !



Bonne journée !
Mes amitiés
Prends bien soin de toi !
Sybilla


----------------
Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

kernanet
Envoyé le :  13/4/2020 19:13
Plume de platine
Inscrit le: 18/2/2013
De: Aux confins de l'île de France et de la Normandie
Envois: 2697
Re: J'aime la poésie...


« Alain « 


----------------
D'une succession de mots naissent des phrases qui font des histoires de tout et de rien....

"Alain"

ZAGHBENIFE
Envoyé le :  13/4/2020 21:58
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 7/11/2015
De: ALGER
Envois: 33740
Re: J'aime la poésie...
encrenoire
Envoyé le :  14/4/2020 9:10
Plume de platine
Inscrit le: 11/6/2013
De: Nord
Envois: 2868
Re: J'aime la poésie...
Merci pour vos lectures et commentaires

joelle59
Envoyé le :  14/4/2020 9:23
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 1/11/2010
De:
Envois: 10717
Re: J'aime la poésie...
Une jolie façon d'aimer la poésie !!


----------------
Amitiés
Joëlle

NoireLune
Envoyé le :  14/4/2020 9:28
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 20/11/2011
De: Où le rêve rit...
Envois: 31974
Re: J'aime la poésie...



Une vraiment
très belle
méditation
Sur l'âme
de la Poésie...



Très amicalement...
NL


----------------
La Poésie ça sert à faire du bien...
ça dénoue le négatif...
et ça devrait être remboursé par la sécurité sociale...

Muguette
Envoyé le :  14/4/2020 9:57
Plume de platine
Inscrit le: 18/11/2019
De:
Envois: 3353
Re: J'aime la poésie...
sans partition et avec arrangement

la poésie est création et musique

très belle oeuvre poétique que j'aime!
PHAETON84000
Envoyé le :  14/4/2020 13:40
Plume de soie
Inscrit le: 20/9/2019
De:
Envois: 149
Re: J'aime la poésie...
Joli et intéressant !

Je pense que tous les styles poétiques ont de l'intérêt... et qu'il n'y en a pas un supérieur aux autres. C'est surtout une question de sensibilité dans l'écriture, l'essentiel étant que le lecteur se sente concerné.

Il ne faut pas, à mon avis, chercher l'âme du poète dans la forme... mais dans le fond.

Amitié
phaeton
encrenoire
Envoyé le :  15/4/2020 7:19
Plume de platine
Inscrit le: 11/6/2013
De: Nord
Envois: 2868
Re: J'aime la poésie...
Merci pour vos lectures et commentaires

Thomas1
Envoyé le :  15/4/2020 7:24
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 12/11/2019
De:
Envois: 8839
Re: J'aime la poésie...
Un poème raté sera toujours raté, quelle qu'en soit la forme.

StJust
Envoyé le :  11/4/2021 1:57
Plume d'or
Inscrit le: 17/5/2009
De: 33
Envois: 1922
Re: J'aime la poésie...
MOn cher Monsieur, Je ne savais pas à quel point vous aviez d'admiration pour moi, de vénération même, pour me consacrer tant de temps et écrire 4 textes tel un petit roquet qui aboie très fort et qui tente de mordre les chevilles. (Plus 3 messages sur la messagerie intérieure 2 datés du 15 avril 2020 et 1 du 12 juin ! )On le sait, ils ne sont pas dangereux, ils ne peuvent jamais atteindre la tête de qui que ce soit. J'aurais pu vous répondre sur le mode comique à la manière de Cyrano de Bergerac. Cela aurait été vous accorder beaucoup d'importance.
On ne peut pas plaire à tout le monde et qui que vous soyez, vous trouverez toujours sur votre route détracteurs.
Si ce que j'avançais, et qui vous a rendu fou de rage, à savoir : " La poésie est la musique des mots ", se résumait à mon simple avis, vous pourriez avec les faibles arguments que vous employez, me contester et me vilipender, mais il se trouve que TOUS les grands noms de la poésie classique française, TOUS ont dit la même chose, ou du fait de s'être TOUS astreints à cette contrainte primordiale, respecter le nombre de pieds dans un texte écrit en vers, ont démontré qu'ils s'y pliaient scrupuleusement. Rappelons quelques noms qui l'ont dit clairement, ( je ne les ai pas tous en tête) mais de mémoire en voici quelques uns et pas des moindres : Rousseau, Voltaire, Hugo, Nerval et les noms de quelques uns qui s'y sont conformé : Lamartine, Chateaubriand, Musset, De Vigny, Verlaine, Rimbaud, Baudelaire, Edmond Rostand, Mallarmé, Albert Samain, François Coppée, Théophile Gautier, Verhaeren ,Anna de Noailles, Rosemonde Gérard etc...etc...Vous imaginez-vous éructant contre eux avec les mêmes arguments que vous employez contre moi ? Déjà, à savoir leur fatuité, leur suffisance, leur orgueil démesuré ? Ne vous sentiriez-vous pas tout d'un coup tout petit et vraiment ridicule ?
Simple question : Pourquoi tous les grands noms, tous les Maîtres, les meilleurs, les plus célèbres s'y sont conformés ? Vous l'êtes-vous demandé, vous qui critiquez les disciples qui le font en les insultant ? Un seule réponse : car en s'y pliant scrupuleusement c'est le seul et unique moyen de faire surgir cette petite musique, ce rythme, ce balancement, qu'entendent ceux qui ont l'oreille musicale. Il est évident que ceux qui ne l'entendent pas, croient qu'elle n'existe pas et de ce fait veulent enfreindre cette règle.
Nous sommes, en venant au monde, tous inégaux. Nous n'avons pas tous les mêmes talents quand on a la chance d'en avoir un, certains plus gâtés en ont plusieurs et d'autres semblent n'en avoir aucun. Pour ceux qui en ont reçu au moins un, j'ai constamment cette sage parole de l'apôtre Paul en tête : Qu'as-tu que tu n'aies reçu ? Et si tu l'as reçu pourquoi te glorifies-tu comme si tu ne l'avais pas reçu ?
En effet, pas un homme sur la planète ne peut se glorifier du ou des talents qu'il a reçu en venant au monde. Un tel sera doué dès sa naissance pour la musique, pour le chant, pour le travail du bois, du fer, pour la peinture, pour ceci, pour cela. Certains que l'on qualifie de prodiges font des calculs de tête phénoménaux battant de vitesse les machines à calculer, d'autres ont une mémoire fabuleuse, etc.. etc... D'autres par contre ne sont pas du tout doués pour les quelques disciplines que je viens d'évoquer, ce n'est ni dramatique, ni honteux, c'est ainsi, on ne peut rien leur reprocher. Mais quand on n'y connait rien, il serait stupide d'aller critiquer quelqu'un qui s'y connait en quelques matières que ce soit. Un exemple récent : Cohn-Bendit qui n'est ni médecin, ni spécialiste en virologie et qui a pris parti en insultant un spécialiste qui a un avis différent de celui de certains de ses confrères. Il s'est ridiculisé, une fois de plus d'ailleurs.
Pour en revenir à ma modeste et petite personne, j'ai reçu un don, je suis musicien, autodidacte, je joue de plusieurs instruments, et je perçois très bien les mélodies en musique, de même que celles d'un texte poétique. C'est inné, je n'ai aucun mérite.
Revenons au sujet qui vous chagrine : la poésie c'est la musique des mots. Les musiciens captant cet aspect facilement, sans forcer ne discutent jamais cette affirmation. Seuls ceux qui sont handicapés parce qu'eux n'entendent pas la mélodie des mots quand c'est régulier, que le nombre de pieds est observé, la contestent.
Si votre position, concernant la liberté de transgresser l'observance du nombre de pieds dans un texte poétique, était juste, pourquoi aucun des grands noms de la poésie française, de la poésie classique, ne l'ont-ils fait ? Cela ne vous interpelle t-il pas ? Pourquoi Verlaine et les autres se sont toujours conformés à la règle de base ? Tout simplement, je me répète, que la transgression fait rompre la captation de cette mélodie en filigrane du texte et qu'elle apparait immédiatement à l'oreille comme une fausse note. Le vers alexandrin est celui qui permet de susciter des textes les plus mélodieux, les plus harmonieux.
Prenons en un au hasard, Le Cor, d'Alfred de Vigny :

J’aime le son du Cor, le soir, au fond des bois,? Soit qu’il chante les pleurs de la biche aux abois, ?Ou l’adieu du chasseur que l’écho faible accueille,? Et que le vent du nord porte de feuille en feuille.
C'est un texte extrêmement mélodieux, il est chantant, rythmé, il s'en dégage une mélodie. Changez y sur un vers le nombre de pieds, un de plus ou un de moins et c'est foutu:
J'aime le son du cor tout au fond des bois ( un pied de moins) ou J'aime le son du cor quand je suis au fond des bois ( un pied de trop ) dans un cas comme dans l'autre la mélodie est rompue et cette rupture est perçue par l'oreille comme une fausse note.
Je veux avant d'aller plus loin, dire que certains auteurs, et je pense à l'un qui était sur Oasis il y a une dizaine d'années, Alaf, écrivent de la poésie en prose extrêmement mélodieuse. Cet Alaf avait immigré sur un site Canadien ( dissous par la suite ) sur lequel j'avais été invité à faire paraître mes textes. Nous avions échangé plusieurs fois nos points de vue, et je l'avais félicité en m'étonnant de sa performance d'écrire des textes si mélodieux, si poétiques, en prose. C'est rarissime et je vous le dis, j'en suis incapable. Je ne m'y essaye même pas. Par contre, quand il écrivait en vers, ce qu'il faisait très bien, il respectait lui aussi, scrupuleusement le nombre de pieds en sachant que c'était le seul moyen de conserver la musicalité du texte.
Revenons également à l'argument que vous avancez comme parfois certains autres : Nous comptons le nombre de pieds sur nos doigts, avec un mètre, etc...Votre ignorance vous rend ridicule : c'est vous qui avez besoin de compter le nombre de pieds sur vos doigts, parce que vous ne savez pas faire autrement. Mais une chose vous échappe totalement: le musicien des mots lui ne compte pas le nombre de pieds un à un, il les capte immédiatement instantanément par 12 par exemple sur un alexandrin. Il saisit le rythme du premier vers que ce soit sur 6, 8, 10 ou 12 pieds, il l'a dans la tête et ensuite il capte les vers suivant la référence de base par 6, 8, 10 ou12 pieds et il sait chaque instant s'il y en a un de trop ou un moins à l'oreille. Prenez un métronome, chaque battement correspond à un pied du vers et lisez votre texte, s'il y a un pied de moins ou un de plus en bout de vers, vous serez en décalage. Le musicien des mots, lui, a un métronome dans la tête. Si vous n'en êtes pas capable, c'est que vous n'avez pas l'oreille musicale, mais ne soupçonnez pas ceux qui l'ont, de devoir procéder comme vous êtes obligé de le faire en étant handicapé.
Maintenant, cher Monsieur, qui voulez donner des leçons, pour ce faire il faut un minimum de talent et de savoir. Et à la lecture de vos écrits on les cherche en vain, et je vous le dis sans méchanceté, vos textes frisent l'indigence, ils sont même affligeants. Regardons de plus près vos 4 dernières productions, j'ai sous les yeux "J'aime la poésie"
"J'aime la poésie Dont l’étymologie Est création". Déjà vous faites étalage de votre ignorance en utilisant un mot dont apparemment vous ne maitrisez absolument pas le sens. L’étymologie est la science qui a pour objet l’origine des mots. Origine d’un mot. Or en écrivant "la poésie " il ne s’agit pas d’un mot, mais d’une oeuvre ce n’est pas du tout la même chose. Donc, utiliser étymologie pour une oeuvre c’est un non-sens. Vous auriez dû dire : Poésie, Étymologiquement, signifie création. Je suppose que vous avez voulu dire : J'aime la poésie qui à l’origine est une création. Ce qui n’est pas mieux : c’est un truisme! ( vérité banale, d’évidence, sans portée. ). Généralement, là je ne vais pas plus loin, il situe de suite le niveau de l'auteur: Ce qui signifie j'aime la poésie dont l'origine est création. Entendons création dans le sens de composition. Vous êtes vous rendu compte de la banalité de cette assertion ? Que vous écriviez de la poésie ou de la prose tout écrit quel qu'il soit est une composition. Que vous écriviez à votre percepteur, à votre tonton Robert, une lettre d'amour, une réclamation tout est une composition, une création. Vous ouvrez la bouche pour parler, pour questionner, pour répondre vous faites acte de création chaque fois, même si c'est quelconque ou sublime. Autrement dit, dés le départ on constate : tiens, il vient de découvrir l'eau tiède ! Il ne savait pas qu'il faisait de la prose sans le savoir comme Monsieur Jourdain ! Voyons la suite :
"Tout va dans le jardin Les mots portent l'humain Ses émotions." Alors là, on pense de suite à la petite cabane au fond du jardin, très poétique. Tout va dans le jardin ne veut strictement rien dire cher Monsieur, c'est une ineptie. Les mots portent l'humain, ses émotions, ne vaut guère plus ! Les mots portent l'humain, depuis quand ? Un sourd muet de naissance il est porté par quoi ? Un esquimau, un indien d'Amazonie, un Papou sont-ce les mots qui les portent ? Et Beethoven qui était complètement sourd, qui savait à peine lire il était porté par les mots ou la musique ? . Quant à "Un sonnet, un quatrain Ne sonnent pas très bien Sans carnation " encore une fois vous ne maitrisez pas le sens d'un mot que vous utilisez : carnation, qui signifie: teint, coloration de la peau. Quel est le rapport ? Je ne vais pas plus loin sur ce texte : ces 3 passages sont d'une banalité et d'une bêtise affligeante , bien que je sois curieux de découvrir ce qu'est " une strophe à coups de triques ! "Vous en connaissez-vous, vous savez la reconnaître dans un texte ? C'est une ânerie de plus, c'est n'importe quoi, cela ne veut rien dire, seul un imbécile peut utiliser une telle image !

Prenons "Démiurge ": Il est incroyable que quelqu'un qui ne saisit pas la musique des mots ( chose invisible ), qui en est incapable ose écrire : "Une âme insensible A ce qu'elle est, belle et triste, Morte à l'invisible ? ". Mais c'est justement votre cas cher Monsieur, vous vous décrivez très bien, vous êtes incapable de capter la musique des mots, vous êtes handicapé, et vous parlez bêtement d'une chose dont vous ne soupçonnez pas l'existence !
"Sourire ": "Lui qui compte et mesure, un peu comme un comptable", c'est vous qui avez besoin de compter, le musicien des mots lui il ne compte pas, il capte la portée de 12 pieds d'un coup sans se tromper. Cela vous ne le comprendrez probablement jamais dans votre petit cerveau limité, car bien au-dessus de vos possibilités. N'affirmez pas, ne parlez pas de ce que vous ignorez, de ce dont vous ne soupçonnez même pas l'existence, cela vous évitera de dire des bêtises et de vous ridiculiser ! Ce sont ceux qui n'aiment pas la poésie, qui la massacrent, qui ont besoin de compter sur leurs doigts. Pas pour le musicien des mots, qui, on le sait : " Quand on aime, on ne compte pas ! "( Un peu d'humour pour vous dérider ! Cela vous fera du bien et vous évitera de prendre des dragées Fuca !... )
"Ce texte évidemment n'est pas un beau sonnet ( Non seulement il n'est pas beau, mais il n'a rien à voir avec un sonnet ! Encore une ânerie ! ) Il s'agit d'une image, une invite au voyage ( Tiens ! On apprend avec étonnement que vos divagations sont une invite au voyage ! Probablement en nous menant en bateau, je ne vois rien d'autre qui puisse le faire ! ) D'imaginer l'orage et non l'accastillage ". Alors là encore une énormité ! D'imaginer l'orage et non l'accastillage." Vous pouviez dire aussi d'imaginer l'accastillage et non l'orage c'était autant dénué de sens. Là, il est vrai, vous avez 2 possibilités comme pour les lessives : 2 paquets pour le prix d'un seul. Cela vous a plu accastillage, ce n'est pas une rime courante certes, mais il faut savoir l'utiliser correctement, et que cela ait un sens en rapport avec le sujet du texte. Là, cela ne veut strictement rien dire ! Définition d'accastillage : Ensemble des superstructures d'un navire au-dessus du pont supérieur, c'est à dire entre autres, la mâture.. Pouvez-vous nous dire ce que signifie : D'imaginer l'orage et non la mâture ? Quel est le rapport ? Aucun, absolument aucun, c'est n'importe quoi, cela ne veut strictement rien dire. Il faut être stupide pour faire une telle comparaison. C'est nul ! Et vous en êtes probablement fier en plus !
"Tristesse" : "Il est vain d'invoquer la musicalité Le fat, pour compenser le vide de son âme Porte le masque noir des hussards de Paname Il réduit l'univers à son nombril gâté. "Alors là c'est un comble, c'est la négation de tout ce que les grands poètes ont dit : la poésie c'est la musique des mots. Donc à vos yeux, ils sont fats, ils ont l'âme vide ils réduisent l'univers à leurs nombrils et la perle sur le gâteau : Porte le masque noir des hussards de Paname. Un petit roquet inculte, maladroit et prétentieux ose affirmer l'inverse de ce qu'ont dit tous les plus grands poètes ! Vous vous êtes cru malin en utilisant un mot correspondant à la rime précédente âme, sans savoir apparemment ce que signifie Paname. Et là on constate votre indigence. Définition de Paname : D'après Claude Dubois, journaliste et historien de Paris, auteur de l'ouvrage Je me souviens de Paris, l'apparition du terme pourrait être expliquée par le scandale de Panama et le « panama » (chapeau mis en vogue par les ouvriers du Canal de Panama, et porté par les parisiens élégants) . S'il s'agit du chapeau on se demande qui sont ces hussards noirs du chapeau ! Autre définitions : « Paname a pu signifier la ville des élégants ( Paris ) puis, à cause du scandale, la ville du chatoiement, des illusions et des désillusions... En tout cas, c'est pendant la guerre de 14 que le terme, qui s'employait déjà aux dires du linguiste Albert Dauzat, a pris son essor. Tu le r'verras, Paname ! est le titre d'une chanson de 1916 ou 1917. Après l'Armistice, on ne le dit plus . Pareille interrogation sur ces hussards noirs qui portent le masque ? De suite un masque on pense à Zorro et on a envie de vous chanter :" Zéro est arrivé, avec son masque et son grand chapeau " ! C'est n'importe quoi. Et ce mot que vous veniez de découvrir sans savoir l'utiliser correctement dans votre texte vous a tellement enchanté que vous le refaites réapparaître plus loin : On dirait encore une loi de Paname ou le scandale de Panama près de Chantilly . Question : pouvez-vous nous expliquer ce qu'est une loi de Paname et encore plus gros le scandale de Panama près de chantilly ?.. Encore n'importe quoi, des bêtises de plus, cela ne veut rien dire ! Le quatrain suivant ne vaut guère mieux : Mesurer n'est pas tout. S'il suffit de compter
Pour avoir le talent d'un bel épithalame " Une fois de plus vous faites l'étalage de votre ignorance et de votre stupidité. Vous voulez en mettre plein la vue aux lecteurs en utilisant des mots dont vous ignorez le sens : Épithalame : Poème lyrique, composé à l'occasion d'un mariage. Nous apprenons avec étonnement qu'un poème pouvait avoir un talent ! Que l'auteur en ait un, cela on peut le concevoir mais que le poème en ait un aussi, là, c'est dur à avaler. Seul un crétin inculte peut l'écrire ! C'est n'importe quoi ! Vous auriez mis hippopotame, on pouvait en se forçant, imaginer que l'un d'eux puisse avoir un quelconque talent par exemple dans un cirque en marchant sur un fil ! Mais là, cela ne veut strictement rien dire, cela n'a aucun sens ! Et le pire pour ceux qui ont justement l'oreille musicale qui vous fait tant défaut, votre sonnet comporte une transgression des règles de base qui se perçoit immédiatement sans compter sur ses doigts comme dans le cas présent vous ne l'avez pas fait : "Sophiste de ce temps, la loi contre-nature Sert ses tristes desseins, jaloux de littérature Il se veut l'étalon quand il n'est que l'hiver." Le ver du milieu a 13 pieds il est impropre dans un sonnet, qui de ce fait est imparfait, stupide et ne mérite pas louanges ! Et quand la chute d'une affligeante banalité: quel est le rapport entre l'étalon et l'hiver ? Aucun, absolument aucun. Vous auriez dit il se veut le commencement alors qu'il n'est que la fin, là, on aurait perçu un rapport. Mais en voulant vous montrer spirituel vous soulignez votre indigence et votre bêtise. C'est nul et c'est un grand service que de vous le dire. Vous louer sur un tel texte est scandaleux. Il y a encore beaucoup de lecteurs qui comprennent le français. Que croyez-vous qu'ils pensent immédiatement en commençant à lire vos productions ? C'est nul, nul, au ras des pâquerettes. À la hauteur du petit roquet inculte, prétentieux que vous êtes. Lancez vous dans le tricot , la pétanque, ou le yoyo, peut-être que vous y brillerez, vous vous ridiculisez dans la poésie. Méditez le sage et précieux conseil de Boileau : Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement, Et les mots pour le dire arrivent aisément. Le moins que l'on puisse dire c'est que vos textes manquent de clarté , c'est lourd, décousu, et que les mots que vous utilisez vous dépassent, vous en ignorez le sens et vous les faites apparaître à tort et à travers, n'importe où, n'importe comment, en voulant en mettre plein la vue vous soulignez votre ignorance, vous ne les maîtrisez pas. Vous pouvez invoquer les dieux de l'Olympe, les peintres, les ceci, les cela, pour masquer vos lacunes, vous ne faites que les accentuer !
Monsieur, je me suis permis de répondre vos attaques, vos insultes, votre prétention de me juger au vu et au su de tous sur le site, de vouloir me ridiculiser, alors que vous ne me connaissez absolument pas, vous ne savez rien de moi, vous n'avez aucune idée de ce que je suis en vérité. Nous aurions pu échanger nos différents, cordialement, avec des termes respectueux, sans se mettre d'accord pour autant, sur la messagerie intérieure, non, vous préférez la publicité et bien vous l'avez. Je ne peux pas laisser impunément un petit roquet prétentieux inculte, stupide et sans talent, voulant se faire plus gros que le boeuf, à continuer d'aboyer fût-il du nord , sans à un moment lui faire comprendre que c'est assez, que sa prétention dépasse de beaucoup ses possibilités et qu'il n'en ni le talent, ni la finesse dans l'analyse. Et surtout changez de pseudo : Haine noire !
Je vous rappelle que lors de ma première intervention sur votre texte Prose, je n'ai porté aucun jugement de valeur sur le texte j'ai juste répondu à vos affirmations péremptoires concernant, la poésie, en étant correct et poli. Ce qui a déclenché , d'abord un caprice de gamin : " je vais quitter le site ! " ( quel âge mental avez-vous ? ), puis votre courroux, puis vos insultes ! Vous auriez dû le préciser : je n'accepte que les louanges jamais la contradiction, j'ai mon ego surdimensionné très susceptible et je pense avoir toujours raison car je me crois supérieur mais incompris. Ah ! L'image d'Épinal, du poète incompris, cela a toujours plu à ceux qui resteront éternellement dans l'ombre, et on comprend vite le pourquoi en lisant leurs textes ! Je suis un petit roquet inculte qui voudrait jouer au savant pour masquer mes lacunes et qui veut mordre quiconque le contredit.
Méditez cher ami ces paroles d'un sage : Vous voyez la paille qui est dans l'oeil de votre voisin mais vous ne voyez pas la poutre qui est dans le votre. Corrigez donc les inepties, les bêtises, les fautes et les erreurs, les non-sens qui pullulent dans vos productions, cela vous prendra beaucoup du temps pour les répertorier et cela vous évitera d'en chercher chez autrui. Relisez vous et surtout essayez de comprendre ce que vous écrivez avant de le publier ! N'utilisez que les mots dont vous maitrisez le sens, cela vous évitera de vous ridiculiser en faisant l'étalage de vos lacunes. Et surtout avant toutes choses : mettez-vous humblement à l'école des grands Maîtres de la poésie qui ont marqué l'histoire de la poésie classique en France, écoutez leurs enseignements en particulier le premier : La poésie c'est la musique des mots.
Maintenant, ces remarques ne s'appliquent qu'à ceux qui écrivent leurs textes sur le mode alexandrin ou avec des vers de 4,6,8,10 pieds. Ceux qui comme notre ami Tolpac n'ont pas cette prétention, et qui comme lui écrivent sur 14,15,16,17 voire 18 pieds, il n'y a rien à dire, même si c'est irrégulier. J'avoue qu'à maintes reprises, j'ai lu avec plaisir ses textes, qui ne sont dénués ni de sens, ni d'humour. Ou d'autres qui écrivent " en poésie libre, comme souvent le fait Capricorne que j'apprécie.
Je me permets aussi de revenir sur ma déclaration concernant les haïkus, j'ai manqué de précision, et je pense avoir blessé ceux qui s'y livrent. Vers 1975, Alain Peyrefitte a fait paraître 2 gros volumes : Quand la Chine s'éveillera. Il venait d'y faire un voyage de 15 jours. Un prêtre missionnaire qui avait passé 50 ans en Chine, qui parlait couramment le chinois avait déclaré j'ai vécu 50 ans auprès de ce peuple, et je ne les comprends toujours pas ! Il s'étonnait que l'on ait pu écrire 2 gros volumes après seulement 15 jours passés en Chine !
En transposant sa remarque au peuple japonais et à ses coutumes et traditions, je suppose que pour les comprendre, il faut déjà parler couramment le japonais, avoir vécu au moins 15 ou 20 ans au Japon, s'être imprégné de leurs spectacles, de leurs musiques, de leurs traditions, de leur histoire, de l'importance de l'empereur, du Fujiyama, des Samouraïs, de leur littérature, de leurs croyances, de leur façon de se vêtir, de se nourrir, et surtout pour percevoir la subtilité, la finesse de cette forme de poésie propre au Japon, il faut y avoir fréquenté les grands maîtres et y avoir été initié. C'est une somme de travail et de temps énorme, que peu de gens peuvent y consacrer, Il y a tellement de belles choses, de chef-d'oeuvres dans la poésie occidentale, pourquoi aller chercher ailleurs ce que l'on a chez nous et qui ne demande pas tant d'efforts, d'énergie et d'années pour accéder au sublime et à la compréhension ? Je l'ai dit, je peux me tromper, mais je pense que les Haïkus écrits par des occidentaux, ne sont pas à la hauteur des exigences des grands-maîtres japonais faute de s'être mis sur place à leur école pendant des années et des années. Pour cette raison, je ne m'y risque pas, et j'avoue ne pas vibrer le moins du monde à cette forme de poésie, faute de la comprendre. Maintenant, je ne critiquerai jamais ceux qui s'y livrent, libre à eux s'ils y trouvent du plaisir, cela m'est étranger.
Pour faire une comparaison, prenons une partition de grand orchestre de jazz période swing, y compris les soli, faites la jouer par des musiciens de formation exclusivement classique, ce ne sera pas du tout la même chose, que celles jouées par des musiciens noirs américains de l'époque swing, qui eux y mettront une intensité, que seront incapables d'atteindre les musiciens de formation classique. Tous les amateurs de jazz qui ont écouté cette musique pendant de nombreuses années, à l'oreille, sauront faire la différence immédiatement, quelque chose d'apparemment imperceptible mais qui ne leurs échappe absolument pas. C'est comme pour le Canada dry : cela ressemble à l'alcool, cela a la même couleur que l'alcool, cela a le même goût que l'alcool, mais ce n'est pas de l'alcool ! J'imagine ( peut-être à tort ) qu'il en est de même pour les Haïkus écrits par les occidentaux, puis lus par des japonais..
Amitiés à toutes et à tous !


Thogomez
Envoyé le :  11/4/2021 7:52
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Re: J'aime la poésie...
La poésie qu'on aime a le pouvoir de faire vivre en soi , l'émotionnel et le créatif tout en apportant une belle satisfaction .


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