Il est lĂ
Il s’est levé un fou matin
Dans le lit d’une chine profonde
Il est venu se nourrir serein
Dans les corps qu’il inonde
Il se propage incognito
Les frontières n’en a que faire
De votre toux immigre tĂ´t
Sur vos bronches qui se vident d’air
Le voilĂ dans son jour de fĂŞte
Pour ronger votre intérieur
DĂ©pecer votre folle tĂŞte
Jusqu’à votre mise en bière
Non mes amis ne vous affolez point
Montez que de votre capacité d’humain
Vous serez fort en votre combat den contrepoint
Pour ruiner sa capacité vorace de malin
Restez confiné dans votre petit coin
Protégez- vous contre ses visites
Eloignez vous en, en tout points
Comme de vos congénères qui n’ont soin
Il est ce Virus inaudible, invisible
Tant bien mĂŞme, il ne vous incruste
Mais il est là vous attend coéligible
Pour vous assurer massacre injuste
Oui mes amis la meilleure protection
Est de ne pas, tant bien prudent de vous en approcher
Mais de le laisser mourir avant qu’il ne fasse interruption
Dans votre espace pour vous offrir mauvaise santé
©ƒC
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j'irai par vos hameaux cueillir vos mots pour vous les offrir bouquets versifiés toujours plus beaux
Mais que faire de plus ?