Le ciel paraît si splendide,

Mais révèle un grand vide,

Ma poésie n’est pas limpide,

Mais d’amour elle est avide,



Le soleil brille sur des terres arides,

Mes sentiments deviennent solides,

Alors je fonce comme un bolide,

Partir à sa conquête je décide,



Je n’ai pas besoin de carte ni de guide,

Et tant pis si cette femme est perfide,

Je compte les jours sur mon éphéméride,

Je regarde à la fenêtre le brouillard acide.



Je n’attendrai pas d’avoir des rides,

Je renonce aux histoires morbides,

Pleines de sang et de faux suicides,

Et je rêve quand les grilles je valide.

Salut bkariole
J'ai bien partagé l"objet de ta conquête,tu as conquis la poésie et le coeur des lecteurs.Merci pour ce poème en"ide".Amitiés
Amedyaz

J'ai bien apprécié ce moment de lecture et la serenité de vos mots.
Merci et bravo!

bravo j,ai vraimenet aimé !!!

Dans ton écrit, réside
Ta détermination placide,
Tu choisis, tu fonces, tu décides,
Et ton oeuvre ne prend pas une ride.

BRAVO

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