Le refrain
Lorsque un jour , je ressentis ce refrain
Par un heureux détour je l' ai capturé
Lors , le cuivre et l’étain ; oh cloches lointaines
Quant avec la chance , les guerres stoppèrent
La musique , oh tendre refrain à mes oreilles
Rappelles toi de ce doux passage , et aimes
La vie deviens ton ami dans son langage blême
Et maintenant accroches ton cœur aux notes
L’harmonica tzigane - l'orgue de barbarie
La chanson qui ta fait sourire et rire
Le bonheur engloutit tes angoisses - tes peurs
Laisse la place à la source du bonheur t'envahir
Toi qui as aimé - que tu aimes - et aimeras
Jamais baisser les bras et pour ça bats toi
Tes armes ne tuent pas - fait loi et légion de ça
La musique en toi est un monde merveilleux
Et , elle en rendra plus d'un heureux ( ses )
Lorsque ce jour , et aussi ton cœur ...
Ce refrain au doux murmure , sans cassure
Ton moral qui sans bruit , sans subir de blessure .
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