Suspendu...
Les échos sont des ondes qui transpercent mon âme
Du haut de ces cieux les averses se font torrent et cyclone
Ici n'est plus mon monde c'est devenu un paradis de flamme
Même si eux n'ont comme dieu que l'œil d'une brume fantôme
Dans les poussières de la vie se construisent des châteaux
Souvent éphémère car la marée refoule tout en déchet
Tes hiers sont des hivers qui amenuisent les temps chauds
Sache mon père que je m'écroule alors que si fort je paraît
Les tombes suspendues sont des pierres philosophales
Transformant les cadavres en des ombres du souvenir
Le vide une empreinte tendu à la douleur et au mal
Y repose la peine dans le havre et mon dernier soupir...
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