Quatrième partie
Avant dernière partie pour ne pas dire dernière partie
( C'est l'été ).
Les saisons sont écoulées les unes après les autres
Et de nouveau, c'est l'été.
Déjà vous partez! mon dieu!
Je sais, je sais, c'est la vie,
On ne peut pas vivre sans se dire adieu.
On ne peut pas vivre sans mourir un peu...
Je vous rappelle que je vais partir.
Je vais peut être vous manquer,
Et vous allez goûter ce que j'ai longtemps, longtemps redouté..
Rien ne demeure à présent
Que cette folle promesse de se retrouver,
De se tenir par les yeux
Et de pleurer comme font les veuves, les orphelins et les vieux.
Adieu.
Soyeux heureux!
Qu'il était doux le chant des rossignols!
Et qu'ils étaient splendides les cieux!
Mais à présent, c'est l'automne,
Il gronde, il tonne.
Les rossignols cessent de chanter,
Et le jardinier s'étonne.