Comme cet oiseau migrateur
Planant dans le ciel ténébreux
Dans les airs nuageux ô moi voyageur
Je cherche ton cœur dans l’absence silencieux
Bohémien à la recherche de la lueur prodige
Pour une halte sous la lumière de tes ferveurs
Dans le fabuleux nid fait de vestiges
D’un soleil éternel enchanteur
Lorsque au loin sur les flots fluorescents
Fondant les nuages gris en lambeaux
Une flamme s’élève vers le firmament
Illuminant l’atmosphère d’un flambeau
Belle cette gerbe aux éclats idylliques
Jaillie de tes intimes profondeurs
Où le feu d’amour relique
Garde dans le rêve toujours son ardeur
rivedusoleil
14 Juillet 2019
----------------
Ah ! si seulement avec une goutte de poésie ou d'amour nous pouvions apaiser la haine du monde !
Résidence sur la Terre (1935) Pablo Neruda
Blog: http://vaguesdepoesie.over-blog.com