Déjà pour l'écriture : superbe.
Pour le fond, je reste sur le commentaire d'onan, que je partage. Nous avons aussi, dans notre propre pays, des terres désertiques dont nul ne se soucie: là où le profit économique n'est pas immédiat, l'abandon est au bout, mais gageons qu'un jour nous serons bien obligés d'ouvrir les yeux... Sera-t-il trop tard?
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Des mots contres des maux
Et l'espoir en écho...