Ils ne vécurent jamais heureux, en avaient oublié ce langage.
Dans la solitude du silence, entendirent le vol noir du corbeau
Sur leur peine, le temps de cet espace, un matin chagrin;
mère nature les a bercé, après les douleurs de la dague
Meurtrière, ils ont vagi comme des enfants malades
Pendant toutes ses guerres, sur leurs stèles, les pleurs
De leurs mères, ici git vos progénitures, honorées au nom
De la Paix, et de leurs esprits, amènent leurs souffrances
Hors de cet enfer aux couleurs de ces chers, puissent-ils
Espérer entrevoir pas le chemin des drames mais du Paradis;
toutes ces générations sacrifiées, ces malgré Eux
Pour que nous puissions toujours te nommer Liberté;
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