L’Etoile de Bonne Heure….
Que j’eusse expiré aussi fort que pouvait souffler le vent
Ô voile de baisers tendresses, Ô voile de caresses prudes;
Qu’elle fût cette raison immense, infini, que la brise emporta
À l'abri de mon être, qu’elle t’eût disposé au milieu des étoiles
En cohorte, promettait le feu protégé, tu ornas ainsi mon ciel
Des plus heureux, séparés par la distance, celle de mes bras
A ce grand bleu, qu’elle s'éclipsa cette belle étoile derrière
Cette brume blanche; puis scintiller pendant les nuits claires,
Que j’eusse mis toute ma conscience en cette belle rencontre
Ô clair, prélude de ce grand voyage, à La belle, dites-lui
Que je l'attendrais toujours assise sur ce banc, à une vie d’elle.
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