Le père loup, la mère louve. C'est de la fraîcheur d'âme que je lui trouve. Il n'a jamais pensé comme un loup. D'un souvenir flou, il se rappelle, quand sa mère le louveta. Elle le flaira, le regarda blasée, faisant voir un horrible déplaisir.
Faire la mère, lècher, choyer, materner ... elle n'avait guère le loisir. Une inconduite absolument gratuite, dont la motivation n'est point extérieure. Drôles de moeurs. L'indolence mieux installées que l'instinct maternel. Les preuves étaient toutes factuelles. Le petit était reçu comme un chien dans un jeu de quilles.
Sa fratrie, sa famille et qui a air de famille imitent ce qu'ils voient, ce qu'ils apprennent. On le malmène, on le brime, on l'étrille parce qu'il ne hurlait avec les loups.

Bonsoir bElhirch,

Très beau texte émouvant !



Bonne soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

jolie lecture touchante

Bonjour bElhirch

Pauvre louveteau, délaissé et mal aimé, c'est douleur que de grandir ainsi. Joli et touchant partage.

Amicalement Franie

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