Quand mes ils se noient Sous des battements d'elles, Que des ils sans joie Attristent en infidèles Au point qu'avec effroi S'enfuient les hirondelles Nicher sous d'autres toits Au-dessus des balancelles.
Quand mes elles se déploient En assaut vers le grand bleu De ces ils qu'elles croient Etre ,d'elles, amoureux, Que leurs lèvres s'octroient Des baisers langoureux Et que , les bras en croix, Elles jouent avec le feu.
Alors mes ils dévorent mes elles Qui se consument en étincelles. Ainsi s'en vont, d'ils en elles, Les cœurs dans leur nacelle.