Ha, l’école fantastique 31,

Comment ne pourrait-on pas être éberlué,
Quant à leurs résultats et à leurs manières d’être.
De leurs jours en minutes, ils flattent mon passé,
Quand d’eux jadis j’avais, l’envie de les voir naitre.

Ils sont si différents et si intéressants,
Ils sont faits de ma chair de mon âme de mon sang.
La nuit quand ils se croisent mon âme seule se cantonne,
Aux hiers et aux ailleurs, que ma peine occasionne.

Trop dans la nostalgie je ne vois pas leurs âges,
Passer devant mes rides. Suis-je loin du naufrage ?
Ils ont des caractères si différents, opposés,
Ils sont faits de ma chair même si elle est tronquée.

J’apprends à les connaître et apprécier leurs cœurs
Je me fais tout petit pour ne rien étouffer.
Je ne pourrais jamais remplacer par l’erreur,
Ce qu’en pleine conscience, j’ai chassé par excès.

Stéphane CHENEVAS-PAULE
18 février 2019

Bonsoir Stéphane,

Très beau bouquet de vers que j'ai aimé lire !



Bonne soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)